Virus

Les virus sont de parfaits parasites. En dehors d’une cellule vivante, un virus est une particule dormante, incapable de se reproduire. Ce n’est que lorsqu’il pénètre dans une cellule hôte qu’il entre en action en détournant le processus cellulaire propre à la cellule. Les virus à ADN (comme le poxvirus ou celui de l’hépatite B) peuvent se répliquer dans la cellule hôte. Les virus à ARN (comme le virus de l’herpès, celui de l’hépatite C, celui du sida ou le coronavirus COVID-19) doivent infecter les cellules en injectant de l’ARN dans le cytoplasme de la cellule hôte, puis utiliser son enzyme de transcription (transcriptase inverse) pour créer de l’ADN à partir de modèles d’ARN. À partir de là, la cellule infectée produira une protéine codée par le virus qui répliquera le matériel génétique du virus.

Combattre les virus pour éradiquer la rage, la varicelle, la variole ou la fièvre jaune a longtemps été un combat majeur pour l’humanité. On dit qu’il y a 1000 ans, les Chinois avaient découvert qu’ils pouvaient améliorer l’immunité en prélevant de la matière sur la vésicule d’une personne atteinte de variole et en grattant avec elle le bras d’une personne en bonne santé.

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De nombreux progrès ont été accomplis depuis afin de mettre au point et perfectionner des vaccins contre de nombreux virus. En savoir plus.

Grâce à diverses méthodes d’hygiène et de vaccination, ces maladies ont pu être contenues, bien qu’il existe encore des foyers résiduels dans certains pays. Mais d’autres virus, en particulier Ebola, la grippe aviaire et le SIDA (virus du VIH), ont attiré une attention considérable au cours de la dernière décennie. Et puis vint la COVID-19.

Le génome d’un virus est un acide nucléique (ADN ou ARN). Les virus ne peuvent se multiplier (en répliquant leur génome) que lorsqu’ils infectent une cellule et utilisent les enzymes de cette cellule pour compléter le processus de réplication. Les mutations des virus humains se produisant constamment, il est par conséquent très difficile de trouver des vaccins actifs. C’est pourquoi un traitement contre Ebola n’a pas encore été trouvé, et les vaccins contre la grippe ne sont pas toujours efficaces. Comme pour le SIDA, les chercheurs comptent désormais sur des produits tels que les thérapies antirétrovirales.

Percée scientifique:Un extrait végétal à activité antivirale

En tant que jeune chercheur, le Dr Mirko Beljanski a passé plusieurs années à travailler avec Severo Ochoa, lauréat du prix Nobel de 1959. Severo Ochoa a été reconnu pour sa découverte d’une enzyme dans les bactéries appelée polynucléotide phosphorylase. Cela lui a permis de synthétiser l’acide ribonucléique (ARN).

Ce travail a conduit le Dr Beljanski à approfondir ses études et à recréer le processus par lequel les informations héréditaires contenues dans les gènes sont traduites (1).

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Dans les années 80, Mirko Beljanski a découvert un extrait végétal à effet antiviral: le Pao Pereira. C’est un arbre qui pousse dans la forêt amazonienne. L’écorce est purifiée, extraite et une préparation est faite à partir de ce cet extrait qui peut être pris par voie orale par les humains, Bien qu’il soit mieux connu pour son effet anticancéreux, cet extrait a prouvé qu’il possédait aussi un effet antiviral. Le composé actif de l’extrait est une molécule connue sous le nom de Flavopereirine. Notons que la récolte de l’écorce ne tue pas l’arbre, celle-ci se reformant rapidement. La vie de l’arbre est par conséquent préservée.

Les recherches de Mirko Beljanski se sont concentrées sur le pouvoir antiviral de l’extrait de Pao Pereira contre les virus à ARN.

Dans le cas du VIH (virus de l’immunodéficience humaine), des expériences en laboratoire ont démontré une activité de l’extrait de Pao pereira contre ces virus, y compris le TMV (Tobacco Mosaic Virus), qui est un virus végétal. Et ces expériences sont très parlantes. Si vous couvrez la feuille avec un virus puis traitez la moitié avec l’extrait de Pao pereira, la partie non traitée développe ces imperfections qui sont le signe du TMV. L’autre partie traitée avec le Pao pereira est protégée et reste verte.

Plus important encore, une étude sur le VIH a été menée dans le cadre d’un essai clinique sur l’homme. Cette étude réussie a conduit à une publication scientifique.

Les personnes participant à cet essai étaient séropositives, c’est-à-dire qu’elles avaient été infectées par le VIH, mais elles n’étaient pas encore atteintes du sida. Au cours d’une étude de 12 mois, aucun d’entre eux n’a développé de SIDA à part entière ou n’a succombé à des infections secondaires. Certains indicateurs se sont révélés forts significatifs. Le nombre de cellules CD4, qui vous donne une indication de la santé de votre système immunitaire, est revenu à la hausse sur l’influence de Pao pereira, au même titre que le nombre total de lymphocytes. Il y a eu plusieurs autres développements positifs, encore une fois, sans effets secondaires négatifs.

En savoir plus

Sur une période d’une année, l’innocuité de l’extrait de Pao pereira (Pau pereira) a été établie. Il existe désormais des témoignages récents rapportant l’activité de l’extrait de Pao pereira (Pau pereira) contre les infections à COVID-19. Nous devons garder à l’esprit que COVID-19 est un virus à ARN. Nous avons reçu dans un premier temps des rapports intéressants de 2 médecins qui ont décrit des traitements réussis de leurs patients COVID-19 avec l’extrait de Pao pereira (Pau pereira), qui furent suivis de retours d’utilisation efficaces par nombreux autres particuliers. Deux facteurs ont contribué à rendre ces témoignages crédibles: la résolution rapide de tous les symptômes et le succès des symptômes révélateurs des infections au COVID-19, tels que la perte d’odorat ou de goût. Ces anecdotes sont enthousiasmantes mais ne constituent pas la preuve d’une action antivirale. Notre première démarche consiste à obtenir plus de données à partir de ces types de témoignages isolés mais individuels. Nous essayons de recueillir des informations plus détaillées sur l’utilisation de l’extrait de Pao pereira (Pau pereira) dans les cas de COVID-19. Et en fonction de ce que nous apprenons, nous pourrons alors mettre en place une étude plus formelle pour regarder cet effet et en faire une étude scientifique convaincante.

MÉCANISMES D'ACTION

Améliorez votre système immunitaire


Les agents pathogènes vont des virus aux vers parasites et parfois ils se modifient (mutent) pour continuer à infecter et à détruire leurs hôtes malgré les traitements. Lorsque le moment vient et que votre corps rencontre un agent pathogène, quel que soit l’agent pathogène, nous voulons le garder à l’extérieur. Notre peau est notre première ligne de défense. D’où la recommandation de se laver les mains. Viennent ensuite les autres barrières physiques – acides gastriques, mucus, larmes – qui nous aideront à détruire ou à expulser le pathogène.

Mais parfois, l’envahisseur se fraye un chemin à l’intérieur du corps. Votre système immunitaire est alors appelé à la rescousse. Son travail est de vous protéger contre les agents pathogènes nocifs (comme les bactéries et les virus) et de limiter les dommages causés par les agents non infectieux (comme les coups de soleil ou le cancer). Mais que faire si vous n’avez pas un système immunitaire fort? Tous ceux dont le système immunitaire est affaibli, y compris les adultes et les enfants atteints de maladies chroniques graves (y compris le cancer), courent par conséquent un plus grand risque de développer des complications graves liées à la COVID-19.

Le système immunitaire est composé d’une variété de cellules et de signaux cellulaires, travaillant ensemble pour prévenir et guérir les infections. Mais tous proviennent des cellules souches de la moelle osseuse.

Les personnes subissant une chimiothérapie voient souvent leurs globules blancs endommagés par le traitement, entraînant un affaiblissement de leur système immunitaire. Alors que le Dr Mirko Beljanski cherchait à aider ces personnes dont les globules blancs sont endommagés par la chimiothérapie, il a créé de petits fragments d’ARN capables d’amorcer la réplication de l’ADN dans les cellules souches de la moelle osseuse. La moelle osseuse, à son tour, crée toutes les lignées de globules blancs qui constituent notre système immunitaire. Dans un essai clinique au Cancer Treatment Centers of America (CTCA) où la population étudiée était constituée de patients cancéreux souffrant d’un système immunitaire très affaibli, ces fragments d’ARN se sont avérés être une véritable percée scientifique : pas de toxicité, pas d’effets secondaires et un système immunitaire renforcé. (5)

Comment protéger notre système contre le COVID-19et autres pathogènes ?

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Un essai clinique pour les patients souffrant de COVID Long

La Fondation Beljanski finance un nouvel essai clinique pour les patients souffrant de COVID Long, car il est urgent de trouver de un traitement efficace. Des rapports anecdotiques de patients présentant des symptômes persistants d’une infection au SRAS-CoV-2 ont commencé à émerger peu après le début de la pandémie. Le terme « COVID Long » a été inventé pour nommer cette condition et alerter la communauté scientifique. Plus de 65 millions de personnes dans le monde souffrent aujourd’hui de cette maladie. L’objectif est de vérifier si l’administration d’une préparation spécifique de petits fragments d’ARN, développée à l’origine par le Dr Mirko Beljanski, pourra stimuler les cellules souches de la moelle osseuse pour produire de nouvelles cellules immunitaires. Des recherches antérieures, menées à partir de cette préparation de fragments d’ARN au Cancer Treatment Centers of America, ont confirmé son innocuité et son efficacité pour traiter la thrombocytopénie (faible taux de plaquettes) causée par la chimiothérapie.

Une thrombocytopénie a été observée chez un nombre important de patients atteints de COVID Long, et on remarque qu’un faible taux de plaquettes est souvent associé à de la fatigue, qui est elle-même un symptôme majeur de COVID Long. L’essai révélera également le potentiel des fragments d’ARN à rééquilibrer l’immunité chez ces patients.

Soutenez la recherche sur le Covid long

Alors que le rôle des amorces d’ARN a été découvert pour la première fois par Okazaki, l’activité de ces courts segments d’ARN comme amorces pour initier la synthèse de nouveaux brins d’ADN a été identifiée à l’origine par le Dr Beljanski, alors qu’il travaillait à l’Institut Pasteur à Paris, en France. Les fragments agissent en stimulant les cellules souches dans la moelle osseuse pour produire nos cellules immunitaires. Ils sont disponibles comme complément alimentaire aux États-Unis depuis les années 90 : c’est cette préparation, commercialisée par la Maison Beljanski, qui sera utilisée pour l’essai clinique.
Les résultats de l’essai clinique devraient nous dire si l’activation des fonctions de la moelle osseuse et le renforcement de l’immunité du patient permettent de traiter efficacement le COVID Long.

« Les niveaux de plaquettes ont été mesurés chez les patients déprimés et se sont révélés faibles par comparaison aux témoins normaux. Par conséquent, l’interférence dans ce processus pourrait être une voie prometteuse pour d’autres recherches visant à traiter la thrombocytopénie légère chez les personnes atteintes de COVID Long, ainsi que les effets secondaires les plus courants de cette maladie, qui sont la fatigue et la dépression », explique le Dr John Hall, directeur de la recherche à la Fondation Beljanski.

15 050€ sur 80 000€ récoltés
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JEUDI DE LA SANTÉ SUR le thèmeL’ Inflammation: Cause de multiples maladiesEN REPLAY


Intervenants pour cet évènement :Sylvie Beljanski et le Dr Eric Kiener

Chaque mois, à l’occasion des Jeudis de la Santé – évènements virtuels organisés pour vous aider à vous sentir mieux naturellement – nous vous présentons des professionnels de la santé qui viennent partager des informations et des conseils liés à la santé holistique.

Sylvie Beljanski et le Dr Eric Kiener étaient les invités du Jeudi de la Santé sur le thème: L’Inflammation, cause de multiples maladies.

Nous vous proposons de voir ou revoir l’enregistrement de cet évènement.

En Savoir Plus

Extrait de "Gagner la lutte contre le cancer : la découverte dont la république n'a pas voulu"

Plus tard dans la soirée, j’ai demandé à ma mère comment le même produit pouvait s’avérer efficace aussi bien contre des virus que contre des types de cancers aussi différents.

« Ton père travaillait beaucoup sur les enzymes, a-t-elle commencé. Avant qu’il n’ait découvert que la transcriptase inverse était présente dans des bactéries, on pensait qu’elle n’existait que dans les virus. Cette découverte – révélant que la transcriptase inverse était présente dans des bactéries – a été phénoménale du fait que les bactéries sont présentes partout. Le phénomène que les scientifiques considéraient jusqu’alors comme cantonné au monde des virus était en réalité omniprésent. Ton père aurait pu s’en tenir là. Mais c’est alors que le sida est arrivé. Au début, les scientifiques ne savaient rien sur ce nouveau fléau. Entre 1981 et 1987, le nombre de cas et de décès dus au sida a en gros doublé chaque année. L’année 1987 a connu 40 000 décès et presque 50 000 nouveaux cas. Les scientifiques ne savaient pas vraiment comment se transmettait ce virus mortel, ce qui ne les empêchait pas de donner toutes sortes d’avis et de conseils. Tous les plus grands laboratoires du monde travaillaient à trouver une solution.

L’Institut Pasteur est vite entré en compétition avec le laboratoire Abott aux États-Unis pour élaborer une analyse permettant de vérifier si le sang était contaminé. Abott y est parvenu le premier et a révélé en outre qu’il était possible de détruire le virus en chauffant le sang avant une transfusion. En France, l’Institut Pasteur a usé de tout son poids politique pour faire retarder l’approbation du test américain, espérant dans l’intervalle mettre au point son propre test. C’est sciemment qu’on n’a pas aussitôt instauré le processus de chauffe du sang avant une transfusion ; des milliers de personnes ont été transfusées avec du sang contaminé, alors que ce drame aurait pu être évité. À l’époque, il n’existait pas de traitement et un diagnostic de sida équivalait à un arrêt de mort. Ce fut un énorme scandale mais les vrais responsables ne furent jamais condamnés. “Responsables mais pas coupables”, paraît-il.

Grâce à l’Oncotest, ton père a pu sélectionner un certain nombre de molécules aux potentiels anticancéreux et comme il était toujours à l’affut de solutions aux vrais problèmes des gens, il a eu l’idée de tester ces molécules sur les virus. C’est alors qu’il a découvert que son extrait de Pao pereira était très efficace pour inhiber la transcriptase inverse de plusieurs familles de virus, qu’il s’agisse de virus à ARN – comme le virus de l’herpès, celui de l’hépatite C et celui du sida – ou de virus à ADN – celui de l’hépatite B par exemple. »

« Et l’Institut Pasteur n’a pas bien accueilli la découverte ? »

« Non, bien au contraire », a-t-elle immédiatement répondu.

P.77-78 Gagner la lutte contre le cancer: La Découverte dont la République n’a pas voulu

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RÉFÉRENCES

  1. M. BELJANSKI, «Synthèse De Novo d’ADN – Molécules similaires par polynucléotide phosphorylase in vitro». J. Mol. Evol. 1996, 42: 493-499.
  2. M. Beljanski. La Prévention. Les Entretiens Internationaux de Monaco. Éditions du Rocher, 1990.
  3. “Tolérance et faisabilité d’une thérapie de 12 mois utilisant l’agent antirétroviral PB100 chez les patients complexes liés au SIDA.” D.Donadio et coll. Dtsch.Zschr.Onkol. 26, 6 (1994).
  4. La cause du cancer, la guérison du cancer: la vérité sur le cancer, ses causes, ses remèdes et sa prévention. Les découvertes scientifiques de Mirko Beljanski, Ph.D. écrit par Morton Walker, D.P.M. – Hugo House Publishers (9 février 2012)
  5. Étude sur l’augmentation de la dose d’un agent antithrombocytopénique chez des patients atteints de thrombopénie induite par la chimiothérapie Robert D Levin, MaryAnn Daehler, James F Grutsch, John L Hall, Digant Gupta, Christopher G Lis. Levin Online magazine BioMed Central BMC Cancer 10: 565 – 2010.

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Récompensée par le Sceau d'or de la Transparence 5 années d'affilée


Le Sceau d'or a été attribué à la Fondation Beljanski de New York par GuideStar. Cette distinction n'est décernée qu'aux organismes à but non lucratif faisant preuve d'un haut niveau de transparence en matière de rapports financiers, de gouvernance du conseil d'administration et d'engagement communautaire. Ce label d’excellence récompense notre engagement et la transparence de la gestion de la Fondation.

Histoires de survivants

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