covid-long

*Essai clinique visant à tester l'innocuité et l'efficacité d'un soutien immunitaire à base d'ARN chez des patients atteints de COVID long

La Fondation Beljanski finance un nouvel essai clinique pour les patients souffrant de COVID Long, car il est urgent de trouver de un  traitement efficace. Des rapports anecdotiques de patients présentant des symptômes persistants d’une infection au SRAS-CoV-2 ont commencé à émerger peu après le début de la pandémie. Le terme « COVID Long » a été inventé pour nommer cette condition et alerter la communauté scientifique. Plus de 65 millions de personnes dans le monde souffrent aujourd’hui de cette maladie. L’objectif est de vérifier si l’administration d’une préparation spécifique de petits fragments d’ARN, développée à l’origine par le Dr Mirko Beljanski, pourra stimuler les cellules souches de la moelle osseuse pour produire de nouvelles cellules immunitaires. Des recherches antérieures, menées à partir de cette préparation de fragments d’ARN au Cancer Treatment Centers of America, ont confirmé son innocuité et son efficacité pour traiter la thrombocytopénie (faible taux de plaquettes) causée par la chimiothérapie.

Une thrombocytopénie a été observée chez un nombre important de patients atteints de COVID Long, et on remarque qu’un faible taux de plaquettes est souvent associé à de la fatigue, qui est elle-même un symptôme majeur de COVID Long. L’essai révélera également le potentiel des fragments d’ARN à rééquilibrer l’immunité chez ces patients.

Alors que le rôle des amorces d’ARN a été découvert pour la première fois par Okazaki, l’activité de ces courts segments d’ARN comme amorces pour initier la synthèse de nouveaux brins d’ADN a été identifiée à l’origine par le Dr Beljanski, alors qu’il travaillait à l’Institut Pasteur à Paris, en France. Les fragments agissent en stimulant les cellules souches dans la moelle osseuse pour produire nos cellules immunitaires. Ils sont disponibles comme complément alimentaire aux États-Unis depuis les années 90 : c’est cette préparation, commercialisée par la Maison Beljanski, qui sera utilisée pour l’essai clinique.

Les résultats de l’essai clinique devraient nous dire si l’activation des fonctions de la moelle osseuse et le renforcement de l’immunité du patient permettent de traiter efficacement le COVID Long.

« Les niveaux de plaquettes ont été mesurés chez les patients déprimés et se sont révélés faibles par comparaison aux témoins normaux. Par conséquent, l’interférence dans ce processus pourrait être une voie prometteuse pour d’autres recherches visant à traiter la thrombocytopénie légère chez les personnes atteintes de COVID Long, ainsi que les effets secondaires les plus courants de cette maladie, qui sont la fatigue et la dépression », explique le Dr John Hall, directeur de la recherche à la Fondation Beljanski.


La Fondation Beljanski finance un nouvel essai clinique pour les patients souffrant de COVID Long, car il est urgent de trouver de un  traitement efficace. Des rapports anecdotiques de patients présentant des symptômes persistants d’une infection au SRAS-CoV-2 ont commencé à émerger peu après le début de la pandémie. Le terme « COVID Long » a été inventé pour nommer cette condition et alerter la communauté scientifique. Plus de 65 millions de personnes dans le monde souffrent aujourd’hui de cette maladie. L’objectif est de vérifier si l’administration d’une préparation spécifique de petits fragments d’ARN, développée à l’origine par le Dr Mirko Beljanski, pourra stimuler les cellules souches de la moelle osseuse pour produire de nouvelles cellules immunitaires. Des recherches antérieures, menées à partir de cette préparation de fragments d’ARN au Cancer Treatment Centers of America, ont confirmé son innocuité et son efficacité pour traiter la thrombocytopénie (faible taux de plaquettes) causée par la chimiothérapie.

Une thrombocytopénie a été observée chez un nombre important de patients atteints de COVID Long, et on remarque qu’un faible taux de plaquettes est souvent associé à de la fatigue, qui est elle-même un symptôme majeur de COVID Long. L’essai révélera également le potentiel des fragments d’ARN à rééquilibrer l’immunité chez ces patients.

Alors que le rôle des amorces d’ARN a été découvert pour la première fois par Okazaki, l’activité de ces courts segments d’ARN comme amorces pour initier la synthèse de nouveaux brins d’ADN a été identifiée à l’origine par le Dr Beljanski, alors qu’il travaillait à l’Institut Pasteur à Paris, en France. Les fragments agissent en stimulant les cellules souches dans la moelle osseuse pour produire nos cellules immunitaires. Ils sont disponibles comme complément alimentaire aux États-Unis depuis les années 90 : c’est cette préparation, commercialisée par la Maison Beljanski, qui sera utilisée pour l’essai clinique.

Les résultats de l’essai clinique devraient nous dire si l’activation des fonctions de la moelle osseuse et le renforcement de l’immunité du patient permettent de traiter efficacement le COVID Long.

« Les niveaux de plaquettes ont été mesurés chez les patients déprimés et se sont révélés faibles par comparaison aux témoins normaux. Par conséquent, l’interférence dans ce processus pourrait être une voie prometteuse pour d’autres recherches visant à traiter la thrombocytopénie légère chez les personnes atteintes de COVID Long, ainsi que les effets secondaires les plus courants de cette maladie, qui sont la fatigue et la dépression », explique le Dr John Hall, directeur de la recherche à la Fondation Beljanski.

COVID-19 Témoignage

Témoignage de Eric B.
COVID-19

Produit recommandé par mon médecin pendant la pandémie Covid-19, en prise régulière tous les jours , étant professionnel de santé au contact quotidien de patients, je n’ai eu aucun symptôme du Covid…PAO très efficace !

Eric B.


Témoignage

Témoignage de Monique D. :
C0V1D-19

Le Pao pereira, le Rauwolfia vomitoria et les fragments d'ARN étudiés par le Dr Beljanski stimulent et protègent contre le C0V1D-19, qui est beaucoup moins virulent quand il est pris en charge. Ces extraits aident également à lutter contre la fatigue liée au cancer. Je suis très reconnaissant pour ces extraits, que j'utilise depuis des années.

Monique D.


Dr Hervé Janecek

Témoignage de Docteur Hervé J.

Les vétérinaires ont utilisé abondamment le Pao pereira en gélules pour traiter la leucémie féline et aussi par ailleurs le SIDA du chat, 2 maladies qui ont atteint presque 30% de la population féline en France. Dans le cas de la leucémie (virus FLTV de la leucémie féline), on peut utiliser le Pao pereira très régulièrement pendant plusieurs mois. Dans le cas du Sida (virus dénommé FIV), on peut contrer la multiplication du virus avec le Pao pereira. La difficulté peut être la prise de gélules par le chat, on peut donc les huiler avant de les faire avaler. Il y a eu aussi quelques essais avec la PIF (panleucopénie infectieuse féline due à un coronavirus), avec des résultats mitigés, si la maladie est avancée (c'est souvent le cas, le diagnostic étant tardif).

Docteur Hervé J.


Pierrette Weidlich

Témoignage de Pierrette W. :
COVID-19

Cohabitation avec le COVID-19.

En ce début d’année 2022, ma petite fille est en télétravail à la maison.

Le 4 janvier, elle a ses premiers symptômes : grande fatigue, mal à la gorge, courbatures, toux, nez qui coule, transpirations nocturnes. Son test antigénique, le 5 janvier, est positif. Elle a pris du Pao pereira (Pao V “FM”®) et du Golden Leaf of Ginkgo biloba (Ginkgo V®) par jour depuis le 4.

Les symptômes ont duré jusqu’au 7 mais en s’affaiblissant tous les jours. Elle a fait un PCR le 7 qui était positif. Elle n’a jamais cessé de travailler.

Je suis restée éloignée physiquement de ma cousine et voisine (89 ans). Cette fin de semaine, elle a un rhume, depuis quelques jours, de la température et une légère toux. Elle prend u Pao pereira (Pao V “FM”®) et du Golden Leaf of Ginkgo biloba (Ginkgo V®) par jour. Le 8 nous décidons, toutes les deux de faire un autotest. Le mien est négatif, le sien est positif. Un test antigénique l’après-midi confirme sa contamination ainsi que son PCR, ordonné par son médecin, le lundi 10. Celui-ci lui prescrit un antibiotique pour faire baisser sa température.

Le 15 janvier, Mathilde est en pleine forme et ne ressent plus aucune fatigue.

Ma cousine n’a plus de température et les symptômes disparaissent.

Pour ma part, pendant ces 2 semaines, j’ai partagé ma maison avec ma petite fille, j’ai emmené ma cousine à ses rendez-vous et fait ses courses. J’en ai profité pour faire une cure de Pao VFM, par précaution et je prends, tous les soirs, une gélule ouverte de Ginkgo (poudre directement dans la bouche). Le 16 janvier, je fais un autotest qui est négatif.

Un grand MERCI à Mirko BELJANSKI pour ses découvertes et résultats, à Sylvie BELJANSKI et ses collaborateurs pour la disponibilité de ces produits naturels, efficaces et non toxiques. N’ayons pas peur, c’est une aide précieuse que nous apprécions avec reconnaissance.