Le cancer de la prostate reste de loin le cancer le plus fréquent chez l’homme. La recherche contre le cancer de la prostate continue avec La Fondation Beljanski.
Recherche contre le cancer de la prostate
Fréquence des cancers de la Prostate en France ?
A travers son programme de recherche contre le cancer de la prostate, la Fondation Beljanski en conjonction avec Columbia Université, et Nanjing Université, a prouvé scientifiquement l’action bénéfique des extraits Beljanski (Pao pereira et Rauwolfia vomitoria) sur les cellules :
- Pré-cancereuses
- Cancéreuses
- Cancéreuses avancées et résistantes à tous les traitements classiques
Etude clinique cancer de la prostate
Pré-Cancer de la Prostate traitement avec le Pao pereira et le Rauwolfia vomitoria
Une étude clinique de phase I concernant une population d’hommes avec un taux de PSA élevé et donc présentant un risque de cancer de la prostate à court terme, a été réalisée sur l’action synergétique des deux extraits anti-cancéreux, Pao pereira et Rauwolfia vomitoria.
L’essai clinique a débuté en 2006 et a recruté 42 patients présentant des taux élevés d’antigène prostatique spécifique (PSA) (en moyenne 8 à 10 sur l’échelle PSA) et une biopsie négative.
Objectifs de l’essai clinique
L’un des principaux objectifs de l’essai clinique était de déterminer si les extraits de plantes étaient sans danger. L’équipe de recherche a fait un essai de type “escalade de dose”. L’essai a commencé en donnant entre deux capsules à chaque participant mais est allé beaucoup plus loin, et toutes les doses testées ont été sans effets secondaires.
“Nous savons maintenant que cette combinaison des extraits de Beljanski peut considérablement réduire les PSA sur une période de 12 mois. Nous avons également eu très peu de patients ayant développé ensuite un cancer de la prostate. Un certain nombre de patients ont présenté une amélioration spectaculaire de leurs symptômes urinaires. Les hommes ont clairement moins de fréquence de mictions, de meilleurs flux et de meilleurs débits. Ils ne se lèvent pas la nuit aussi souvent.
“L’essentiel est qu’il semble que nos premiers résultats soient une raison d’être très encouragé par la capacité des extraits Beljanski à réduire le PSA et à aider les hommes plus âgés à retrouver une miction normale.”
Quelle est l’importance des découvertes de Beljanski pour la santé masculine?
“Il y a beaucoup d’hommes subissant un dépistage du PSA”, a déclaré le Dr Katz. “Le PSA est supposé être synonyme” d’antigène prostatique spécifique “mais je dis que plus précisément cela a pour effet de stimuler l’anxiété chez le patient “. Quand le PSA d’un homme est élevé, il peut y avoir plusieurs raisons à cela. Mais ce que nous savons maintenant, c’est que ces cellules qui se multiplient peuvent se transformer en cancer, et nous aimerions les empêcher de le faire. En outre, si les cellules continuent de croître même de façon bénigne, elles se développeront autour de l’urètre et pousseront dessus et provoqueront des symptômes urinaires chez les hommes. C’est là que nous voulons réduire la croissance et la division des cellules de la prostate et c’est ce que nous avons montré avec les extraits Beljanski.
Dr Katz conclut dans un article paru dans le magazine Healthy living:
« Nous savons maintenant que la combinaison d’extraits de Pao et de Rauwolfia peut significativement abaisser le taux de PSA sur une période de 12 mois … et nous avons constaté chez un certain nombre de patients une amélioration spectaculaire de leurs symptômes urinaires.
De toute évidence, les hommes ont de meilleurs flux urinaires à des fréquences moindres. Ils ne se lèvent plus aussi souvent pendant la nuit. »
Mirko Beljanski, dans le cadre de la recherche contre le cancer de la prostate, a mis en évidence le pouvoir déstabilisant de nombreuses molécules conduisant à des dérèglements. Il a ensuite sélectionné des extraits naturels (extraits de Pao pereira et extrait de Rauwolfia vomitoria), dépourvus de toxicité qui reconnaissent l’ADN déstabilisé et l’empêche de se dupliquer. L’équipe scientifique de Columbia University a confirmé que ces deux extraits n’ont aucune action sur les tissus sains, mais détruisent les cellules cancéreuses.
L’équipe observe une différence dans le mécanisme d’inhibition de ces cellules par le Pao pereira et par le Rauwolfia vomitoria et recommande l’utilisation des deux extraits ensemble. Citant largement les travaux antérieurs du chercheur, l’équipe américaine confirme l’action in vitro et in vivo du Pao pereira.
Cancer de la Prostate et Rauwolfia vomitoria
« Anti-prostate cancer activity of a ß-carboline alkaloid enriched extract from Rauwolfia vomitoria » Debra L. Bemis, PhD., Jillian L. Capodice, LAc, MS, P. Gorroochurn, A.E. Katz, MD. and R. Buttyan, PhD. International Journal of Oncology n°29: 1065-1073, 2006
Les chercheurs du Département d’Urologie de Columbia University, New-York, U.S.A. ont fait paraître une publication dans “International Journal of Oncology“ (29, 1065-1073, 2006), relatant les résultats qu’ils ont obtenu en utilisant l’alcaloïde du Rauwolfia vomitoria (riche en alstonine), manufacturé par Natural Source International, Ltd.
L’étude in vitro a été faite sur des cellules malignes de prostate humaine, en utilisant plusieurs concentrations d’extrait de Rauwolfia (100 à 500 mg/ml), et plusieurs durées (24, 48 et 72 heures). Ils ont obtenu les résultats suivants :
1°– La multiplication des cellules cancéreuses a presque complètement disparu en 72 heures. (Pour la concentration la plus élevée (500 mg/ml), ce résultat est déjà obtenu à 10% près en 24 heures). Autrement dit il a suffi d’un traitement de 3 jours in vitro pour empêcher ces mauvaises cellules de se multiplier (dans les conditions de l’étude, c’est-à-dire en travaillant par groupes de 5 000 cellules).
2°- D’une manière plus fine, ils ont montré que ce résultat est obtenu parce que le traitement empêche les cellules de passer du stade G1, au stade S, premier stade de la multiplication cellulaire. Le processus de prolifération des cellules cancéreuses est donc bloqué dès le début.
3°- Pour vérifier si cet arrêt de la multiplication cellulaire ne serait pas dû simplement à leur mort par apoptose (mort spontanée des cellules), une étude encore plus approfondie (étude de PARP sur lysats cellulaires) a été réalisée pour rechercher des traces de débris de cellules : il n’en a été trouvé que dans le traitement avec la plus forte dose (500 mg/ml). De ces deux résultats, on peut conclure que le mode d’action est l’inhibition de la multiplication des cellules indésirables, qui meurent de leur mort naturelle sans pouvoir se multiplier.
Les niveaux d’expression de 7 des 112 gènes intervenant dans le cycle de reproduction des cellules sont altérés d’une manière significative. En particulier les gènes D1 et E2F ont tous deux une expression très réduite, ce qui explique l’action inhibitrice du Rauwolfia sur la transition de la phase G1 à la phase S. De plus ils induisent l’expression de p21, protéine inhibitrice qui, elle aussi, empêche la progression de la phase G1 vers la phase S.
L’extrait de Rauwolfia vomitoria a une action encore plus marquée sur des gènes liés à la signalisation de l’ADN endommagé (déstabilisé) : 49 des 113 gènes analysés sont altérés d’une manière significative.
Ces résultats suggèrent que, dans les lignées de cellules prostatiques humaines, le Rauwolfia vomitoria induit l’arrêt du cycle de réplication de la cellule et les gènes de signalisation de l’ADN endommagé. Il modifie à la fois des gènes liés au signal d’ADN endommagé et d’autres liés au cycle cellulaire. Ces altérations ont été confirmées par des expériences d’amplification de l’ARN-m en utilisant la transcriptase inverse (RT-PCR).
L’étude in vivo l’extrait de Rauwolfia vomitoria a été ensuite testé sur des souris nudes. Un groupe a été traité par un placebo, les trois autres par différentes doses d’extrait de Rauwolfia (7,5, 37,5 et 75 mg/kg).
Durant toute la durée de l’étude (5,5 semaines), l’absence de mortalité, les gains de poids, l’appétit, la liberté de mouvements, ont montré que l’extrait de Rauwolfia vomitoria n’a eu aucune action toxique.
Cancer de la Prostate et Pao pereira
« B-Carboline Alkaloid–Enriched Extract from the Amazonian Rain Forest Tree Pao pereira Suppresses Prostate Cancer Cells »
Debra L. Bemis, PhD, Jillian L. Capodice, LAc, MS, Manisha Desai, PhD, Aaron E. Katz, MD, Ralph Buttyan, PhD
Journal of the Society for Integrative Oncology, Spring 2009, Volume 7, Number 2
L’équipe scientifique du Département d’Urologie de Columbia University (New York) a publié un article dans “Journal of the Society for Integrative Oncology“ (vol.7 n°2, pp 59-65, 2009) montrant l’efficacité de l’extrait de Pao pereira manufacturé par Natural Source International, Ltd.
L’étude in vitro a d’abord été faite sur des cellules de prostate humaine in vitro, en utilisant plusieurs concentrations d’extrait de Pao pereira (100 à 500 mg/ml) sur des durées de 24, 48 et 72 heures. Les résultats obtenus ont montré que la multiplication des cellules cancéreuses avait presque disparu en 72 heures avec la concentration la plus élevée, soit 500 mg/ml. De plus, le traitement a empêché les cellules de passer du stade normal au stade de la prolifération cellulaire anarchique. Ce processus n’a même pas commencé.
L’étude in vivo a ensuite été faite sur des souris nudes greffées de cellules cancéreuses de prostate humaine et soumises à des traitements de Pao pereira à de différentes doses (10mg/kg, 20mg/kg, 50mg/kg). Après 6 semaines de traitement, la taille des cellules de prostate a considérablement diminué sous l’influence des doses intermédiaires de Pao pereira. Les résultats obtenus en histologie ont montré l’apoptose de ces cellules.
« Pao pereira Extract Suppresses Castration- Resistant Prostate Cancer Cell Growth, Survival and Invasion Through Inhibition of NFkB Signaling” Cunjie Chang, BS, Wei Zhao, MS, Bingxian Xie, BS, Yongming Deng, BS, Tao Han, BM, Yangyan Cui, BS, Yundong Dai, BS, Zhen Zhang, BS, Jimin Gao, MD, PhD, Hongqian Guo, MD, PhD, and Jun Yan, PhD. Integrative Cancer Therapies 2013, Vol XX(X) 1–10.
Le Dr Jun Yan, du laboratoire du Dr Aaron Katz à Columbia University Medical Center, a poursuivi les recherches sur l’activité anti-cancer et anti-inflammatoire du Pao pereira, (extrait fourni par Natural Source International, Ltd.), à l’Université de Nanjing en Chine. Le Dr Jun Yan a utilisé des techniques de pointe pour déterminer les effets de l’extrait de Pao pereira au niveau cellulaire et quelles réponses sont déclenchées.
Une étude scientifique effectuée à l’Université de Nanjing (Chine) montre que l’extrait de Pao pereira (extrait méthode Beljanski) est efficace contre les cellules cancéreuses de la prostate qui ne répondent plus aux traitements anti-hormonaux.
De tels traitements sont spécifiquement conçus pour limiter les effets de la testostérone, hormone masculine qui stimule la croissance des cellules cancéreuses de la prostate.
La publication sur ces recherches montre que l’extrait de Pao pereira est efficace contre les cellules cancéreuses de la prostate qui ne répondent plus aux agents qui interfèrent avec l’action des hormones. De tels traitements sont spécifiquement conçus pour limiter les effets de la testostérone, hormone masculine qui stimule la croissance des cellules cancéreuses de la prostate. Au fil du temps, les tumeurs de la prostate deviennent résistantes à ces anti-hormones, une indication que le cancer est devenu plus agressif. Or l’étude montre que ces cellules cancéreuses hormono-indépendantes restent sensibles à l’action anti-cancer du Pao pereira.
L’étude a également révélé que le Pao pereira, extrait selon la méthode Beljanski, agit sur un complexe appelé NFkB, centre de contrôle régulant la survie, la prolifération et l’invasion cellulaire. Les résultats suggèrent que le Pao pereira serait utile pour les hommes ayant un cancer avancé de la prostate hormono-indépendant.
La Fondation Beljanski finance un nouvel essai clinique pour les patients souffrant de COVID Long, car il est urgent de trouver de un traitement efficace. Des rapports anecdotiques de patients présentant des symptômes persistants d’une infection au SRAS-CoV-2 ont commencé à émerger peu après le début de la pandémie. Le terme « COVID Long » a été inventé pour nommer cette condition et alerter la communauté scientifique. Plus de 65 millions de personnes dans le monde souffrent aujourd’hui de cette maladie. L’objectif est de vérifier si l’administration d’une préparation spécifique de petits fragments d’ARN, développée à l’origine par le Dr Mirko Beljanski, pourra stimuler les cellules souches de la moelle osseuse pour produire de nouvelles cellules immunitaires. Des recherches antérieures, menées à partir de cette préparation de fragments d’ARN au Cancer Treatment Centers of America, ont confirmé son innocuité et son efficacité pour traiter la thrombocytopénie (faible taux de plaquettes) causée par la chimiothérapie.
Une thrombocytopénie a été observée chez un nombre important de patients atteints de COVID Long, et on remarque qu’un faible taux de plaquettes est souvent associé à de la fatigue, qui est elle-même un symptôme majeur de COVID Long. L’essai révélera également le potentiel des fragments d’ARN à rééquilibrer l’immunité chez ces patients.
Alors que le rôle des amorces d’ARN a été découvert pour la première fois par Okazaki, l’activité de ces courts segments d’ARN comme amorces pour initier la synthèse de nouveaux brins d’ADN a été identifiée à l’origine par le Dr Beljanski, alors qu’il travaillait à l’Institut Pasteur à Paris, en France. Les fragments agissent en stimulant les cellules souches dans la moelle osseuse pour produire nos cellules immunitaires. Ils sont disponibles comme complément alimentaire aux États-Unis depuis les années 90 : c’est cette préparation, commercialisée par la Maison Beljanski, qui sera utilisée pour l’essai clinique.
Les résultats de l’essai clinique devraient nous dire si l’activation des fonctions de la moelle osseuse et le renforcement de l’immunité du patient permettent de traiter efficacement le COVID Long.
« Les niveaux de plaquettes ont été mesurés chez les patients déprimés et se sont révélés faibles par comparaison aux témoins normaux. Par conséquent, l’interférence dans ce processus pourrait être une voie prometteuse pour d’autres recherches visant à traiter la thrombocytopénie légère chez les personnes atteintes de COVID Long, ainsi que les effets secondaires les plus courants de cette maladie, qui sont la fatigue et la dépression », explique le Dr John Hall, directeur de la recherche à la Fondation Beljanski.
Une nouvelle recherche sur les effets anticancers de l’extrait de feuille dorée de Ginkgo biloba
Une nouvelle publication a montré que l’extrait de Ginkgo biloba doré lutte contre la progression du cancer en inhibant deux modèles de développement des cellules cancéreuses : en bloquant d’abord la création de vaisseaux sanguins qui nourrissent les cellules cancéreuses et participent à la croissance tumorale, et en réduisant ensuite l’invasion des tissus, résultant en métastases. Cette étude, ciblée sur le mélanome, a été réalisée par le laboratoire du Dr Qi Chen à l’Université Kansas Medical Center, qui collabore depuis de nombreuses années avec la Fondation Beljanski.
Les cellules cancéreuses utilisent plus d’une tactique pour progresser. Non seulement elles se divisent rapidement, mais elles secrètent une enzyme appelée angiogénine, qui stimule la création de nouveaux vaisseaux sanguins aux tumeurs, renforçant leur capacité à se propager et pénétrer les tissus voisins. L’extrait de Ginkgo biloba doré inhibe spécifiquement cette enzyme, et donc limite la croissance tumorale et métastatique.
L’extrait de Ginkgo biloba doré, et son activité anti-vasculaire et anti-métastatique, combiné avec les extraits de Pao pereira et de Rauwolfia vomitoria , connus pour inhiber les cellules cancéreuses, constituent un formidable trio pour lutter sans toxicité contre le cancer.
Pour en savoir plus :
Chen P, Wang T, Chen Q. Ginkgo biloba Golden Leaf Extract (GGLE) Inhibits Melanoma Cell Invasion and Angiogenesis Through Inhibition of Angiogenin. Integrative Cancer Therapies. 2023;22. doi:10.1177/15347354221134513
L’hyperplasie bénigne de la prostate, L’HBP, est une inflammation chronique. Elle provoque une hypertrophie de la prostate. L’extrait de Rauwolfia vomitoria déclenche une autophagie persistante qui entraîne la mort des cellules de l’HBP par apoptose et les cellules de l’HBP sont éliminées de l’organisme. Normalement, les cellules maintiennent l’homéostasie en recyclant leurs protéines et leurs cellules par un processus appelé autophagie – littéralement “autodigestion”. L’autophagie recycle les cellules qui contiennent des protéines ou des structures défectueuses : les composants récupérés peuvent être réutilisés pour fabriquer des protéines et des structures saines. Dans l’HBP, l’extrait de Rauwolfia induit une extension du processus d’autodigestion appelée apoptose autophagique, qui aboutit à la mort des cellules de l’HBP. Pour l’inflammation grave de l’hyperplasie bénigne de la prostate, l’induction de l’apoptose autophagique est exactement ce que le médecin souhaitait et l’extrait de Rauwolfia y parvient ! L’extrait de Rauwolfia est susceptible de déclencher aussi ce mécanisme dans les inflammations précancéreuses d’autres tissus à régulation hormonale comme le sein.
Share