Cancer du pancréas : les extraits Beljanski® neutralisent aussi les cellules à l’origine des récidives

En inhibant les cellules souches du cancer, capables de réamorcer un cancer après rémission, les extraits Beljanski® de Pao pereira et de Rauwolfia vomitoria limitent les risques de récidives. Deux études confirment cette action sur les cellules souche du cancer du pancréas, un des plus difficiles à guérir.

 

Pour mesurer l’importance des études dont il est question ici, il faut comprendre le fonctionnement des cellules cancéreuses. Deux études publiées en 2012 (1) ont permis une avancée sur ce point. Elles ont confirmé que, dans tous les types de cancers, toutes les cellules cancéreuses ne se valent pas. Certaines jouent un rôle plus important que d’autres : elles sont en quelque sorte les maîtres d’œuvre des cancers. Les chercheurs les ont appelées Cellules Souches Cancéreuses (CSC). Si ces cellules ne sont pas éliminées par les traitements, le risque de récidive après rémission est plus important car elles peuvent récréer un cancer. Or ces cellules développent des résistances à la chimiothérapie (2) et à la radiothérapie (3). Pire : des cellules cancéreuses qui ne sont pas des CSC peuvent le devenir sous l’effet des traitements anti-cancéreux et enrichir la population des cellules résistantes (3).

Aussi, l’efficacité d’un traitement ne se mesure plus désormais à la seule réduction d’une tumeur mais aussi à l’élimination de ces cellules. 

 

Les CSC, bêtes noires des oncologues

Depuis 2012, les CSC sont donc devenues les bêtes noires des cancérologues. C’est pourquoi les chercheurs de Kansas University Medical Center (KUMC) qui ont travaillé avec les extraits Beljanski®, de Rauwolfia vomitoria d’une part et de Pao pereira d’autre part, ont choisi de tester ces produits sur des lignées de ces fameuses cellules souches cancéreuses. Ils ont choisi également un des cancers les plus difficiles à soigner et sans doute le plus dangereux : celui du pancréas. Ils ont mené des études in vitro sur des cellules humaines et in vivo sur des souris, études préalables à des essais sur l’humain dans les protocoles scientifiques. Ces essais ont donné naissance à deux publications dans des revues scientifiques à comité de lecture. 

 

L’extrait Beljanski® de Rauwolfia vomitoria inhibe les CSC du pancréas

Le premier extrait utilisé était celui de Rauwolfia vomitoria, une plante africaine dont Mirko Beljanski est parvenu à identifier puis extraire les molécules anticancéreuses. Les auteurs de l’étude ont testé l’extrait Beljanski® de Rauwolfia vomitoria sur des souris atteintes du cancer du pancréas. L’ensemble des données collectées au long de l’étude montre que l’extrait Beljanski® de Rauwolfia vomitoria inhibe les CSC du pancréas, écrivent-ils dans leur conclusion. Autrement dit, les neutralise. Ils ont également constaté que cet extrait n’avait pas d’effets secondaires indésirables.

Ces résultats sont d’autant plus remarquables qu’ils tranchent avec les mauvais résultats thérapeutiques obtenu par les traitements classiques sur cancer du pancréas, liés aux CSC résistantes qui favorisent les métastases et le retour de la tumeur. L’étude, intitulée Inhibition des CSC pancréatiques par l’extrait de Rowaulfia vomitoria, a été publiée en décembre 2017 par la revue Oncology reports.

Cette étude valide donc scientifiquement les nombreux témoignages de malades guéris de ce type de cancer après avoir utilisé les produits issus des recherches du Docteur ès sciences Mirko Beljanski.

 

L’extrait Beljanski® de Pao pereira inhibent les CSC du pancréas in vitro et in vivo

L’autre étude a été menée également sur le cancer du pancréas, dans la même université (KUMC) mais cette fois avec l’extrait Beljanski® de Pao pereira, un arbre qui pousse en Amazonie dont seule l’écorce est utilisée.

« Nous avons étudié l'extrait de la plante médicinale Pao pereira (Pao) pour son activité contre les CSC pancréatiques. Le Pao a inhibé la prolifération globale des lignées de cellules cancéreuses du pancréas humain », écrivent les auteurs dans le résumé de l’étude parue en mai 2018 dans la revue Integrative cancer therapies. Pour ce qui est de l’essai in vivo, ils observent que les CSC ont également été inhibées chez les souris. Le titre de l’étude reprend d’ailleurs ces observations : « L’extrait de Pao pereira inhibe les cellules CSC du pancréas in vivo et in vitro ». D’autre part, ils ont constaté que l’extrait Beljanski® de Pao pereira n’avait pas d’effets secondaires indésirables.

 

Importance d’éviter des récidives très fréquentes dans ce type de cancer

De manière assez surprenante, ces informations n’ont pas été reprises par la communauté scientifique et médicale, alors même que la recherche se concentre à présent sur l’élimination des CSC, et que les rechutes du cancer du pancréas sont importantes : le taux de récidives métastasiques se situe à 70% selon la Société nationale française de gastro-entérologie (4). En cas de récidive, même diagnostiquée rapidement, les chances de guérison sont limitées, informe l’European society for medical oncology (5). 

Il y aurait donc un intérêt important à agir sur les CSC dès les premiers soins du cancer. Et ces études montrent l’utilité de recommander dès ce stade les deux extraits Beljanski®. Et pas seulement pour le cancer du pancréas car ces extraits s’attaquent au fonctionnement des cellules cancéreuses quelle que soit la partie du corps où elles s’installent.

 

RÉFÉRENCES

1)Deux études sont parues sur les CSC en 2012

a) Defining the mode of tumour growth by clonal analysishttps://www.nature.com/articles/nature11344

b) A restricted cell population propagates glioblastoma growth after chemotherapy https://www.nature.com/articles/nature11287

2) Mécanismes de résistance des cellules souches cancéreuses aux chimiothérapies https://www.em-consulte.com/en/article/1183496

3) Effet de la radiothérapie sur les cellules souches cancéreuses de cancer du sein : résistance, reprogrammation et traitements https://link.springer.com/article/10.1007/s10269-017-2699-8

4) https://www.snfge.org/content/9-cancer-du-pancreas

5) https://www.esmo.org/content/download/6624/115167/file/ESMO-ACF-Cancer-du-Pancreas-Guide-pour-les-Patients.pdf


Plantes anti-cancer issues de la recherche scientifique

Dans le années 80, le docteur ès sciences Mirko Beljanski, chercheur au CNRS, met au point un outil qui s’avère très utile pour ses recherches, l’Oncotest. Il s’agit d’un test simple et fiable pour déterminer les propriétés cancérigènes ou au contraire anti cancérigènes de substances ou d’alcaloïdes. Il permet de mesurer rapidement et comparer le taux de multiplication et de déstabilisation d’ADN sains et cancéreux en présence de ces produits.
Plus l’ADN est exposé aux cancérigènes plus il est déstabilisé (la structure secondaire de l’ADN reste ouverte) et il devient cancéreux, avec une capacité de réplication de plus en plus élevée. Inversement des substances qui inhibent le développement des cellules cancéreuses mais ne perturbent pas les cellules saines sont recherchées.

extraits mis au point et brevetés par Mirko Beljanski

Ces extraits mis au point et brevetés par Mirko Beljanski sont différents de ceux qui sont trouvés habituellement dans le commerce, par leur concentration: près de vingt fois supérieure aux plus concentrés connus sur le marché et par la détoxification des alcaloïdes indésirables, ils sont sans effets secondaires connus, même à haute dose.

Ce chercheur lors de travaux sur des produits protecteurs contre les radiations gamma, sélectionna également  des alcaloïdes issus des feuilles jaunes du Ginkgo Biloba, protecteurs contre les fibroses dues aux rayons et brûlures, et régulateurs d’enzymes.

D’autres recherches  ont amenés Mirko Beljanski à créer de courts fragments d’ARN amorceurs pour stimuler la reprise de la multiplication des cellules de la moelle osseuse, déterminant dans la protection immunitaire et la production de plaquettes (thrombocytes) après les aplasies dues aux traitements conventionnels.

Toutes ces découvertes ont été faites dans le but de lutter contre les cancers et les effets secondaires destructeurs des traitements classiques, sans porter atteinte aux cellules saines, et ont donné naissance aux extraits Beljanski suivants :

extrait concentré de Pao Pereira

PAO PEIRERA

L’extrait concentré de  Pao Pereira (Geissospermum Vellosii) arbre de la forêt amazonienne au Brésil, utilisé pour combattre le paludisme et différentes affections depuis des siècles.

Doté d’alcaloïdes indoliques et du groupe des bétacarbolines, a une action anti tumorale généraliste très puissante agissant  sur un grand nombre de cancers, parmi les plus meurtriers. Il a donné d’excellents résultats en synergie avec les traitements conventionnels d’hormonothérapie, de chimiothérapie, de radiothérapie, ou même en utilisation seul. Il est sans effet sur les cellules saines. Il semble être le seul actif connu sur les cellules souches cancéreuses et sur les cellules résistantes aux traitements, en particulier en cas de récidive de cancer.

Une autre de ses propriétés est de combattre efficacement les rétrovirus à ARN (VIH (SIDA), HERPES..) même sur les souches résistantes aux traitements chimiques.

Dénué de toxicité, Il aide également à supporter les traitements en diminuant les effets secondaires des traitements conventionnels.

Rauwolfia vomitoria une plante contre le cancer

RAUWOLFIA VOMITORIA

L’extrait concentré  et détoxifié de Rauwolfia Vomitoria, provient d’un arbre d’Afrique utilisé en médecine indigène pour calmer plusieurs syndromes.

Il a des propriétés anti cancer aussi efficaces que celles de la plante de Pao Pereira, mais n’a pas de propriétés antivirales.

Les alcaloïdes de Rauwolfia inhibent la duplication des cellules cancéreuses seules, il est sans effet  sur les cellules saines. L’extrait a été débarrassé de la Réserpine qui est faiblement toxique.

Dénué de toxicité, il aide également à supporter les traitements en diminuant les effets secondaires des traitements anticancéreux conventionnels. Il facilite la résorption des ascites.

plante anti cancer Ginkgo Biloba

L’extrait de ginkgo Biloba est produit à partir des feuilles jaunes (automnales) du Ginkgo Biloba, un arbre unique dans son genre, un archétype millénaire, qui a eu la force de résister à des stress énormes comme survivre à l’explosion nucléaire au Japon. Il présente une forte résistance aux agents mutagènes et à des  agressions diverses.

Étudié dans le cadre d’une recherche de produits protecteurs et curatifs des effets des rayonnements gamma, il a été sélectionné pour ses propriétés radio protectrices et de régulation des enzymes. Il est actif empêchant l’apparition des fibroses radiques très fréquentes en cas de radiothérapie. Ces fibroses mettent parfois un temps assez long (plusieurs semaines à plusieurs mois) à se développer, c’est pourquoi une prise de Ginkgo Biloba se poursuit sur un long terme. Il a aussi un effet protecteur pour le foie, ce qui apporte un confort dans les traitements anti cancéreux, et régule les globulines.

Thés anti cancer, sélectionnés par Mirko Beljanski lui-même

Le potentiel anticancéreux de chacun de ces thés a été initialement identifié par Mirko Beljanski à l’Institut Pasteur grâce à l’Oncotest, un test qu’il avait développé pour démontrer qu’une substance peut présenter des propriétés cancérigènes ou au contraire des propriétés anti-cancérigènes. La nouvelle étude américaine confirme l’activité anti-cancérigène de cette combinaison des quatre thés verts contre les cellules cancéreuses du sein.


inflammation de la prostate

Effet anti-inflammatoire des extraits de Pao pereira et Rauwolfia vomitoria

 

rapport_anatomie prostateL'activité anti-cancer à large spectre des extraits Pao pereira et Rauwolfia vomitoria a été prouvée par de nombreuses études scientifiques françaises et américaines. Les travaux de recherche effectués par le laboratoire du Dr Aaron Katz à Columbia University Medical Center ont montré que ces deux extraits ont également un effet anti-inflammatoire sur la prostate humaine.

L'inflammation est la réponse normale du corps aux lésions des tissus, infections, composés toxiques, stress et autres facteurs. Boursouflures, rougeurs et fièvres sont autant de manifestations de cette réponse au moment où les cellules du système immunitaire atteignent les tissus affectés pour combattre l'infection et lancer le processus de réparation. Quand la cause de l'inflammation persiste, la réponse est alors continuellement déclenchée, rendant la condition chronique.

L’inflammation chronique de la prostate est fréquente chez les hommes d’un certain âge. La prostate a tendance à s’élargir et provoquer des troubles urinaires potentiellement graves. Cette condition connue sous le nom HBP (Hyperplasie Bénigne de la Prostate), affecte des millions d'hommes et il n’existe quasiment aucun remède sans effets secondaires.

Dr. Katz a fait une observation étonnante : les hommes ayant des problèmes urinaires causés par l'HBP, et qui ont reçu une combinaison de Pao pereira et Rauwolfia vomitoria, ont constaté une amélioration spectaculaire de  leur condition. Ces résultats montrent que les deux extraits présentent une activité anti-inflammatoire sur la prostate et réduisent la taille de celle-ci, ce qui permet aux patients de retrouver une miction normale.

La question la plus intéressante du point de vue scientifique est de savoir comment les deux extraits diminuent l'inflammation de la prostate ? En d'autres termes, quels sont leurs mécanismes d'action ? Les travaux antérieurs de l’équipe scientifique du Dr Katz ont montré que le Pao pereira induit la mort des cellules cancéreuses de la prostate par un processus appelé apoptose ; quant au Rauwolfia vomitoria, il arrête le processus de division cellulaire des cellules malades entraînant la mort de celles-ci. Les mécanismes d’action de ces 2 extraits s’appliquent-il aux cellules de l'HBP ? Ou bien ont-ils une action alternative réduisant les signaux inflammatoires et permettant ainsi aux cellules de redevenir normales ?

Dr Jun Yan et son groupe de recherche à l'Université de Nanjing en Chine vont établir les mécanismes d’action des extraits. Tout d'abord, ils analyseront l’effet du Pao pereira et du Rauwolfia vomitoria sur la croissance et la viabilité des cellules de l'HBP. Ensuite, ils détermineront exactement comment ils interfèrent avec l'inflammation au niveau biochimique.

Dr. Yan a déjà étudié l'effet de l'extrait de Pao pereira sur des cellules du cancer avancé de la prostate qui ne répondent plus aux traitements hormonaux. Il a constaté que le Pao pereira inhibe spécifiquement les signaux émis par  le NFkB qui est un régulateur majeur de l'inflammation et de la prolifération des cellules cancéreuses. Pour les nouvelles expériences, il utilisera des techniques, appelées profilage d'expression des gènes et analyse de l'ontologie génétique, qui traqueront tous les effets actifs du Pao pereira et du Rauwolfia vomitoria sur le cheminement de l'inflammation dans le cas d’HBP.

De toute évidence, les extraits de Pao pereira et Rauwolfia vomitoria, particulièrement connus pour leurs effets anti-cancer, ont une action bien plus large : ils présentent un effet anti-inflammatoire sur les cellules de la prostate. Considérez ceci : les hommes utilisant une combinaison de Pao pereira et Rauwolfia vomitoria pour l'HBP, profitent par la même occasion de leurs effets anti-cancer.

 Lien vers les études citées ICI

 


Magda- temoignage cancer du sein

Témoignage de Magda :
Cancer du sein

La Fondation Beljanski partage ce témoignage émouvant d'espoir de Magda, qui raconte son combat courageux contre le cancer du sein et son expérience avec les extraits de Mirko Beljanski.


Témoignage sur le cancer de l'utérus avec extension de l'urètre

Témoignage de Stéphanie:
Cancer col de l’utérus avec extension à l’uretère

C’était en 1993. Je vivais alors en Espagne, à Madrid. J’étais enceinte depuis deux mois quand j’ai commencé à sentir des douleurs dans le bas- ventre et le rein gauche. Malgré plusieurs consultations et échographies, les médecins ne trouvaient rien. On pensait donc que c’étaient les douleurs normales de la grossesse (bien qu’ayant déjà eu un enfant et n’ayant pas souffert de cette façon).
Je suis revenue accoucher en France. Là, toujours rien, malgré des échographies régulières. Je prenais une dizaine de cachets de paracetamol par jour à ce moment.
Finalement, après l’accouchement, par césarienne, et souffrant toujours, les médecins se décident à me faire une biopsie et le verdict tombe: cancer du col de l’utérus avec extension à l’uretère. Le rein n’est pas atteint mais il ne fonctionne plus qu’à 16%. Je suis au stade 4. Le pronostic n’est pas bon, le cancer a beaucoup évolué et on me dit qu’on ne peut pas m’opérer dans l’état actuel. Il faut d’abord essayer de réduire la taille de la tumeur.

Choc! Dès le début, mon oncle m’appelle. Il travaille avec le professeur Beljanski et me dit que je dois absolument prendre du Pao Pereira.

Je commence donc une cure de Pao Pereira associé à un autre produit (Ribavirine je crois). Parallèlement, je fais mes séances de radiothérapie et chimiothérapie.
Huit mois après, je dois repasser un scanner pour voir l’évolution de la maladie.
J’arrive donc à l’Hôpital St Louis à Paris avec mes résultats que je montre à l’oncologue qui ne dit rien , mais appelle tous ses collègues et internes du plateau pour leur montrer les résultats.
Et là, il dit textuellement, "c’est miraculeux, on n’a jamais vu ça", "Maintenant, on va pouvoir vous opérer".
Voilà mon histoire. A partir de là, j’ai été opérée, on m’a également enlevé le rein gauche mais je n’ai eu aucune séquelle depuis trente ans.

Par Stéphanie H., en rémission depuis 30ans

Stéphanie Henao

Témoignage de Michel P. Cancer du Prostate

Témoignage de Michel P.
Cancer du Prostate

Cancer du Prostate

Au mois de novembre 2022, suite à une prostate de 73 cc et un PSA à 6,65 ng/ml, j'ai fait une IRM qui a détecté des lésions 12x3 mm en zone périphérique et de 16x7 mm en transitionnelle avec un PI-RADS 4 (forte présomption de tumeur).

Après 8 mois de traitement avec Pao pereira et Rauwolfia vomitoria, une nouvelle IRM dans les mêmes conditions a confirmé l'absence de lésions. Entre temps, j'avais fait environ 5 analyses de PSA qui baissait à chaque fois pour atteindre 3.5 ng/ml. Je précise que je n'ai eu ni biopsie, ni rayon, ni chimio. Je signale tout de même que sans biopsie je ne peux affirmer à 100% que cette lésion correspondait à une tumeur cancéreuse mais le fait est qu'elle a disparue.

Michel P.


Témoignage de Joëlle M.

J'avais beaucoup aimé la rencontre avec Sylvie à Nice. Je me redéplacerai bien, mais dans ma région....le 06.

Je prenais les extraits Beljanski pour ma fille, tout allait super bien, le cancer regressait, puis son compagnon et sa mère lui ont interdit de continuer et l'ont séquestrée pour ne plus qu'elle me voit....3 mois après, les cancers sont repartis, elle est décédée peu après, avec en plus, un cancer de la colonne (elle ne prenait plus les petits fragments d'ARN Beljanski qui la protégeait suite aux très nombreux petscans.....) À 43 ans....

Je conseille à tous de participer à ces réunions avec Sylvie Beljanski.....

Je précise que j'ai offert un mois de traitement à la fille d'une amie de longue date....cancers fulgurants suite à sa vaccination, sa maman a continué depuis 2 ans, elle est en rémission totale à ce jour ....

Par Joëlle M.


COVID-19 Témoignage

Témoignage de Eric B.
COVID-19

Produit recommandé par mon médecin pendant la pandémie Covid-19, en prise régulière tous les jours , étant professionnel de santé au contact quotidien de patients, je n’ai eu aucun symptôme du Covid…PAO très efficace !

Eric B.


Cancer de la glande salivaire

Témoignage de Marie-Ange D.
Cancer de la glande salivaire

J' ai subi une intervention chirurgicale en novembre 2022 , l'exérèse de la glande salivaire et je ne prenais pas les extraits Beljanski à ce moment là.
Suite à cette opération, j'ai  pris les extraits Beljanski de Pao pereira et de Rauwolfia vomitoria jusqu'au 25 janvier . Ce 25 janvier, j ai subi une nouvelle opération de la glande salivaire et j'ai pu voir la différence.
L opération de novembre 2022 " sans les extraits Beljanski" a conduit a un très mauvais réveil, paralysie faciale qui a duré 5 jours. Faible etc...
Pour l'opération de janvier 2023 " suite à la prise du Pao pereira et du Rauwolfia vomitoria : Rien, en forme. Aucune paralysie faciale, pas de vertige.  Le cancérologue n'en revient pas.
Merci Sylvie Beljanski.
Ces extraits font parti de ma vie.
Par Marie-Ange D.