Témoignage Leucemie aigue Type 5


Un grand merci à Joëlle P. pour le récit du traitement son mari.

TRAITEMENTS CONVENTIONNELS

Chimiothérapie intensive (4 chimio de 9 à 11 jours chacune espacées de 6 semaines entraînant une hospitalisation de plus de 6 mois, + Une greffe de la moelle osseuse donneur familial.

D’EXTRAITS BELJANSKI

Pao pereira Rauwolfia vomitoria Ginkgo biloba Fragments d’ARN

LE TEMOIGNAGE :

Mars 2011, je suis en voyage professionnel. Mon mari m’informe qu’il vient de constater une boule suspect dans son testicule. Il va chez un urologue. Son verdict tombe : cancer. Il faut opérer d’urgence. L’opération est réalisée d’urgence et la tumeur est analysée. On respire en attendant les résultats de l’analyse de la tumeur qui va prendre plusieurs semaines. Pas pour longtemps cependant car mon époux commence à souffrir de douleurs disparates. 4 semaines plus tard, il est hospitalisé pour une leucémie aigûe de type 5, une forme sévère et souvent mortelle. Il va subir 4 chimios intensives, le but étant de détruire sa moelle. Il est donc hospitalisé dans un service d’hématologie.

Journaliste, je commence à m’intéresser aux plantes qui pourraient le soutenir. Je découvre les traitements Beljanski. Je doute (Cela fait partie de mon métier) et j’enquête sur ce scientifique. Je découvre les 300 études menées par Beljanski et je rencontre des malades. Mon mari a commencé sa première Chimio qui ne se déroule pas trop mal. Mais il perçoit toujours des douleurs dans ses clavicules et me dit : Je sens que les cellules cancéreuses sont encore là. Je téléphone à New York car son cas est particulier  et on me conseille essentiellement du Pao pereira. Mon mari commence à prendre son traitement aux plantes. Dès le troisième jour, il sent des différences. “Je ne sens plus les douleurs. Je sais que les cellules cancéreuses sont partis.” me dit-il. Ce résultat sera confirmé par les premiers examens de contrôle. Plus aucune cellule cancéreuse dans sa moelle qui était envahie à 80%. Mais il faut continuer les 3 autres chimios car ce type de cancer est récidivant et peu de personne en réchappe. Jusqu’à la greffe. Les deux autres chimios ne se passent pas trop mal.

Mon mari est cité en exemple comme patient exceptionnel. Les infirmières passent leurs examens avec lui. Il fait quelques minutes par jour de vélo. Il subit peu d’effets secondaires qui sont dévastateurs et peuvent tuer le patient. Dernière chimio. Nous avons averti les médecins qu’il prend du Pao pereira. Ils interdisent à mon mari de prendre ces plantes pour la dernière chimio qui doit préparer la greffe. Il ne faut aucune interférence. La chimio se passe nettement moins bien. Mon mari est sévèrement affaibli. Nous constatons une nette différence entre la chimio avec le Pao pereira et la chimio sans. C’est flagrant. Nous sommes beaucoup plus inquiets. La greffe se passe bien. Mais mon mari va faire 4 GVH dont deux graves qui auraient pu le tuer. Aujourd’hui, il est en rémission depuis plus de 7 ans. Il sera considéré comme guéri par la médecine d’ici 3 ans. Mais les médecins considèrent que plus on avance dans le temps plus les risques de récidives se minimisent. Nous avons connu plusieurs personnes dans notre entourage qui ont souffert de cette maladie. Toutes ont été emportées dans les 2 à 4 années après la date de leur diagnostic et toutes ont fait une récidive fatale et rapide. Nous les avions informé de la possibilité de prendre ces compléments. Devant la sévérité de ce mal terrible, toutes ont refusé de prendre du Pao pereira.

Statistiquement, seuls 5% des patients qui ont subi le cancer de mon époux sont toujours vivants après 5 ans. Certes, mon époux n’a pas été capable de reprendre son activité professionnel étant notamment resté alité durant plus de 2 ans. Il souffre également des conséquences invalidantes à la suite des doses de chimio qu’il a reçu et des GVH de sa greffe. Il est bien plus faible qu’avant sa maladie et doit se reposer plusieurs fois par jour. Mais, mon mari, mes enfants et moi même continuons à penser que c’est grâce aux plantes préconisées par le Docteur Beljanski que leur père et mon époux est toujours avec nous.

Par Joëlle P.