Témoignage carcinome ovarien


En janvier 1992, j’ai un mal de ventre persistant qui me pousse à consulter un gynécologue. Ce spécialiste après avoir procédé à des examens me rassure en me confirmant qu’il n’y a rien d’alarmant.

Deux mois plus tard, et devant la persistance des douleurs abdominales, je retourne consulter un chirurgien qui procède à des analyses plus complètes et devant le diagnostic confirmé d’un carcinome ovarien, il décide d’opérer début mai ; à cette occasion il procédera à une hystérectomie totale.

Alors que je débute ma 1ère chimiothérapie à la fin du mois de mai, je suis informée par une amie de l’intérêt des produits Beljanski. Après m’être renseignée auprès de l’Association CIRIS pour obtenir des documents sur Beljanski aux USA pour obtenir le nom d’un médecin connaissant la pratique de ces produits, c’est en juin que je le rencontrerai pour la première fois et qu’il me recommande d’utiliser pour mon cas les Fragments d’ARN, le Rauwolfia vomitoria et le Pao pereira.

En août 1992, le marqueur CA 125 est élevé : 329 ; et j’en suis à ma troisième chimiothérapie. Grâce à l’utilisation en synergie des traitements conventionnels des produits Beljanski, on observe une chute continuelle de ce marqueur.

En septembre, il aura significativement diminué à 173 alors qu’on constatera la présence de deux nodules inquiétants sur le foie.
Je poursuis avec rigueur mon traitement Beljanski, et de mai à décembre 1993 je subirai de très nombreuses séances de chimiothérapie que je supporterai relativement bien.

En octobre 1993, j’ai même dû être opérée d’un calcul à la vésicule biliaire.

En juillet 1993, le marqueur CA 125 devenait très satisfaisant à 39.

En juin 1994 il était, de 28, en décembre 1998 de 13, en février 1999 de 11,2 ce qui est dans la normale. Je suis en rémission complète. Selon un compte-rendu de l’hôpital, en date du 26.02.1999 : “Je n’ai aucun signe évolutif clinique”. En 2004 j’ai 71 ans et 12 ans après mes premiers symptômes je me sens très bien et je suis heureuse de pouvoir faire du bénévolat associatif et consacrer du temps pour m’occuper de ma petite-fille. Cette situation, je la dois au bon choix que j’ai su prendre très vite et au suivi médical sérieux du médecin compétent qui m’a suivi et que je remercie.