Présentation du traitement du cancer du foie avec des extraits naturels en synergie avec la chimiothérapie et radiothérapie.
Traitement naturel du cancer du foie
Les patients devront éviter les rayons ultra-violets qui stimulent les multiplications des cellules cancéreuses .Un régime approprié sans alcool, sans fer en excès, évitera les viandes rouges, les lentilles, le persil, qui favorise la multiplication tumorale. Si le patient est obèse, un régime pauvre en calorie sera souhaitable.
La régulation enzymatique nécessitera un taux moyen d’ions utiles, donc pas d’excès ni de manque de Calcium, magnésium, sélénium, zinc, cuivre.
Une analyse préalable sera nécessaire pour déterminer les taux. La prise de ces molécules se fait par voie orale, elle vient en soutien d’une radiothérapie modérée d’une curie-thérapie ou d’une chimiothérapie modérée ou non, dont la fonction est de détruire les cellules et conjointement de permettre le passage de ces alcaloïdes à travers les membranes des cellules cancéreuses. On parle de synergie de ses molécules avec les traitements classiques de radiothérapie et de chimiothérapie.
Action des extraits naturel Beljanski sur le cancer du foie
Rauwolfia Vomitoria et Pao Pereira : Des alcaloïdes de la classe des béta-carbolines, du genre flavanones et flavonoïdes tels que, l’alstonine (provenant du Rauwolfia Vomitoria), la serpentine, la Sempervirine ou la Flavopereirine (provenant de Pao Pereira,( un arbre du Brésil). Ces alcaloïdes réagissent sur les sites ouverts de l’ADN cancéreux et stoppent sa reproduction. La cellule cancéreuse disparait par apoptose. Plusieurs patients ayant pris régulièrement ces alcaloïdes pendant le traitement de différents types de cancers ont guéri définitivement ou ont stoppé leur progression. De plus, ces alcaloïdes ne réagissent que sur les sites ouverts des ADN cancéreux. Ils ne réagissent pas avec les cellules saines. Ils ne présentent pas de toxicité aux doses thérapeutiques conseillées. Ces deux alcaloïdes ont également une action par réduction d’ascite, particulièrement intéressante dans le cas d’affections hépatiques qui en produisent.
Fragments ARN : un produit composé de petits ARN-fragments, issus d’une bactérie Escherichia coli spécifique, facilite la multiplication des globules blancs et des plaquettes non cancéreux, mais sans effet sur les globules blancs et les plaquettes cancéreux. Fragments ARN reconstruit le stock de leucocytes et de plaquettes (thrombocytes) en cas de diminution importante lors des chimiothérapies. Son utilisation exige une numération globulaire minimale de 2.8.millions de globules rouges par mm² de sang. Dans le cas contraire il conviendra de faire une transfusion sanguine. On éloigne au maximum la prise de Fragments ARN de celle d’Héparine IV : 12 heures avant ou après, car elle annulerait son action.
Ginkgo Biloba : c’est un extrait particulier de feuilles jaunes de Ginkgo Biloba, arbre qui a résisté aux rayonnements nucléaires destructeurs au Japon. La prise de Ginkgo Biloba permet d’atténuer les effets secondaires des différentes radiothérapies (et de la curiethérapie), en particulier d’éviter les fibroses consécutives à ces rayons. Il permet également de traiter des fibroses d’autres origines. Enfin le Ginkgo Biloba est un régulateur enzymatique en particulier pour les nucléases, ne produisant que pour les cellules saines, il réduit la capacité de multiplication des cellules tumorales. Il améliore le taux de Gammaglobulines et les cicatrisations. Il assure une radioprotection des ADN exposés aux radiations Gamma.
Ces extraits sont couramment utilisés en France et aux Etats Unis. L’intérêt de l’approche à base d’extraits Beljanski tient au fait que ces produits sont efficaces pour le traitement des fibroses, la réduction des ascites et leurs propriétés anticancéreuses ainsi que la stimulation ou restauration de l’immunité.
- Les traitements des cancers primaires et secondaires.
- L’ablation partielle du foie (l’exérèse de la tumeur) est le traitement principal lorsque le foie fonctionne normalement. C’est une opération chirurgicale qui consiste à retirer la partie du foie sur laquelle la tumeur s’est développée c’est ce qui apporte le plus de rémissions à cinq ans
- La chimio embolisation artérielle néo adjuvante permet d’injecter des agents anticancéreux dans la tumeur pour en réduire la taille avant de pratiquer une exérèse.
- La greffe de foie est le traitement de référence lorsque le foie ne peut plus fonctionner normalement. La greffe permet de traiter le cancer et la maladie chronique du foie en remplaçant le foie atteint par un foie sain.
- La destruction tumorale percutanée par radiofréquence est une alternative à la chirurgie, selon la taille et la localisation de la tumeur dans le foie. Cette technique utilise la chaleur pour détruire la tumeur en passant à travers la peau. Destruction d’une ou plusieurs tumeurs de tailles réduites.
- La chimiothérapie permet de ralentir le développement du cancer lorsqu’il n’est pas possible d’enlever la tumeur. Elle est administrée sous deux formes différentes par voie orale ou intraveineuse. C’est souvent une chimiothérapie palliative.
- La radiothérapie externe par irradiation la plus ciblée possible de la tumeur, plusieurs techniques existent: la radiothérapie de conformation (RTC) avec des fractionnements de faibles doses de rayons répétées plusieurs fois par jour sur une période étendue. La radiothérapie Stéréotaxique(RTS) qui concentre au maximum les radiations en épargnant le foie non tumoral.
- La radiothérapie interne Injection d’iode 131 par voie artérielle à proximité de la tumeur
- La radio embolisation. Une approche innovante, la radio embolisation (SIRT) est utilisée pour traiter les tumeurs inopérables. Cette approche cible la tumeur au plus près en empruntant le réseau vasculaire qui la nourrit pour l’irradier. Le produit radio thérapeutique, l’yttrium-90, est encapsulé dans des millions de microsphères de résine acheminées jusqu’à la tumeur hépatique via un cathéter introduit au niveau de l’aine du malade. Jusqu’à 40 fois plus élevée que celle administrée par voie systémique, la dose de radiation ainsi délivrée est également nettement plus précise, épargnant les tissus sains alentours. Actuellement, les microsphères : SIR-Sphères en résine marquées à l’yttrium-90, font l’objet d’un vaste programme d’études cliniques dans les tumeurs du foie en Asie en en Europe.
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