Adénocarcinome de type pancréatique, chimio et radio résistant


Jean a 87 ans, avait 29 ans de recul par rapport à un cancer du pancréas et qu’après 16 ans d’interruption des formulations Beljanski il s’estime guéri.

Le 31 mars 1982, j’étais encore un agriculteur actif.

Formant même des projets pour meubler les quelques années qui me séparaient de la retraite. Avec la complicité de Marguerite, mon épouse, la vie coulait, tranquille. Rien ne laissait présager que notre sérénité allait être bousculée, bientôt, par un élément nouveau, aussi imprévu qu’imprévisible

En effet, dès le lendemain matin, je ressentais les premiers signes de ce qui devait apparaître, par la suite, comme une “longue et cruelle maladie”, dont le développement marqua bientôt la fin de mes activités professionnelles. Une sensation de ballonnement m’oblige, au petit-déjeuner, puis aux repas suivants, à limiter ma consommation alimentaire ainsi que les jours suivants.

Voulant faire rapidement la lumière sur les raisons de ce désagrément, je consulte un médecin généraliste.

Ce fut le premier pas vers la découverte d’une maladie, a priori sérieuse, qui faillit bien me coûter la vie, et le début de mon cheminement avec elle. De spécialiste en spécialiste, le diagnostic s’affirme, pour être finalement confirmé par une biopsie le 3 mai suivant.

La conclusion est malheureusement très pessimiste. Elle établit l’existence d’une tumeur maligne, présentant les caractéristiques d’un “adénocarcinome, de type pancréatique, à développement mésentérique”. La tumeur, que j’ai développée à l’abdomen, ne peut être enlevée et apparaît, à l’examen des prélèvements, chimiorésistante et radio-résistante.

A la question de mon épouse: “Qu’y a-t-il à faire, docteur?”, la réponse vient, ne laissant place au moindre doute: “Hélas, rien, Madame.” “Et pour combien de temps en a-t-il, docteur?” “Deux mois, trois mois, peut-être plus, peut-être moins…”.

Ce pronostic ne laissait pas la moindre place à l’espoir d’amélioration et encore moins à une quelconque guérison.

Une véritable course contre la montre s’engageait dès lors. Fort heureusement, si la médecine hospitalière ne pouvait rien dans mon cas particulier, j’eus la chance de rencontrer rapidement un médecin à l’esprit ouvert et curieux et qui ne craignait pas de déroger aux directives du conseil de l’Ordre.

Il était déjà en relation avec un scientifique du CNRS du nom de Beljanski, dont les recherches sur les maladies graves (cancer, maladies virales, etc.) étaient déjà bien avancées. Dès le 9 juin, je fus admis à ma première consultation chez ce médecin, sur recommandation du chirurgien qui avait pratiqué la biopsie.

Dès lors j’eus accès à l’utilisation des formules issus des recherches et des découvertes de M. Beljanski.

Tout l’été 82 se passa de façon relativement confortable. Je pouvais faire de menus travaux au point qu’à l’automne je pus même réaliser les ensemencements saisonniers. Le résultat de ce traitement se concrétisa sur deux plans.

En premier lieu, la tumeur fut bloquée à sa forme initiale par l’action des molécules verrous. Ainsi, elle ne gênera pas de cancer secondaire dans d’autres organes ni de métastases.

Le deuxième résultat fut de modifier la résistance initiale de la tumeur aux traitements classiques et de l’amener à réagir à un traitement de type hospitalier. Sur la demande de mon médecin, je fus donc admis en milieu hospitalier pour être soumis à la radiothérapie à doses “homéopathiques”, de l’avis du cancérologue radiothérapeute. C’était le 15 février 1983. Neuf mois et demi s’étaient déjà écoulés depuis le pronostic du 3 mai 1982.

J’avais donc déjà largement dépassé les quelques mois de survie qui m’étaient promis !

Les premières séances de radiothérapie ne furent pas concluantes. Ce fut seulement à partir de la neuvième qu’un début de régression commença d’apparaître à l’échographie.

Démarré dans une perspective de dix séances, ce traitement fut poursuivi jusqu’à trente séances, au terme desquelles la tumeur avait fondu presque complètement, à la grande surprise des médecins du service. D’ailleurs, l’un d’eux, incrédule à l’observation des résultats d’une échographie, alla jusqu’à manifester la curiosité de “rouvrir” (!) pour vérifier l’exactitude des observations.

Le 1er avril 1983, je quittais le centre hospitalier régional pour rentrer à la maison et commencer une convalescence, qui s’est prolongée plusieurs mois, pour retrouver toutes mes aptitudes physiques. Plus tard, je devais apprendre que Mirko Beljanski a toujours préconisé l’association de ses formules avec les traitements de type hospitalier.

En effet, la toxicité de la majorité des antimitotiques ou les effets secondaires des rayons favorisent la pénétration des principes actifs de ces nouveaux produits jusqu’aux sites où leur efficacité est la meilleure.

Ainsi, la synergie des deux méthodes, tout en sublimant leur potentiel respectif, apporte à leur utilisateur les meilleures chances de guérison.

Ce fut la mienne. Une année s’était écoulée…

Elle fut sans doute marquée par des passages de hauts et de bas. Mais jamais je ne fus désespéré, et jamais non plus je n’avais souffert. Après plusieurs mois de convalescence, je retrouvais mon potentiel physique et toutes mes sensations de bien portant. Je dois dire, en effet, que, depuis juin 1982, je suivais régulièrement l’approche Beljanski.

Durant la période du 15 février au 31 mars 1983, en présence de radiothérapie, l’intensité de prise de ces produits fut renforcée. Et les médecins du service en étaient informés. Tel produit stimulait la production ou le maintien de mes défenses immunitaires; tel autre, anticancéreux spécifique, avait pour fonction de lutter contre le phénomène tumoral, cependant qu’un troisième, radio protecteur, me préservait des séquelles radiques.

Aucun de ces produits ne présente de toxicité et n’a d’action sur les cellules normales, ce qui rend leur préhension sans danger. Ils n’exposent pas non plus au phénomène d’accoutumance, quelle que soit la durée d’utilisation. L’arrêt de ma radiothérapie n’a pas marquée l’arrêt d’utilisation de mon traitement complémentaire.

Un cancer est, en effet, une maladie bien plus insidieuse que beaucoup d’autres.

Quand on en réchappe, il laisse un organisme déstabilisé, fragile, souvent exposé à des récidives à terme plus ou moins rapproché. Il convient donc de demeurer vigilant et très prudent. Mon médecin, en parfait accord avec Mirko Beljanski, l’a été.

Entrer en rémission est déjà une chance. La faire durer et consolider l’organisme est une nécessité.

Ainsi la méthode Beljanski a été poursuivie pendant plusieurs mois, aux doses curatives, après mon entrée en convalescence.

Puis, progressivement, ces doses ont été réduites, mais maintenues jusqu’à fin 1985.

Considérant le résultat si surprenant de la dernière échographie de mars 1983, la proposition de ROUVRIR (!) pour vérifier l’exactitude du résultat apparu, qui surprenait tout le monde, faite par l’un des cancérologues gravitant autour de ma personne ! Devant mon refus, aussi ferme que catégorique, il n’insista pas. A l’époque, il savait que ce résultat ne pouvait être obtenu qu’en utilisant des produits dépourvus d’AMM !

Il était si probant que la conclusion des médecins, tout en étant brève, était sans appel et était exprimée en ces termes :

“Après trente séances de radiothérapie, à doses homéopathiques, on ne trouve plus que quelques séquelles fibreuses INERTES et non EVOLUTIVES”.

C’est dans cette situation que je vis depuis le 1er avril 1983, tout en prolongeant mon suivi Beljanski pendant encore plusieurs mois. Depuis, je n’ai eu à traiter la moindre velléité de récidive. Pour être complet, j’ajouterai que, par rapport à mon âge, et pour prévenir tout risqué de problème de prostate, mais seulement depuis 10 ans, j’utilise régulièrement les formulations de Mirko Beljanski. En effet, sur les conseils de mon médecin, j’avais consulté un urologue.

A la suite d’un bref examen, celui-ci voulait tout de suite me fixer un rendez-vous pour une biopsie de la prostate. Devant son insistance, je lui demandais de m’accorder un temps de réflexion. D’un ton d’autorité sans appel, il me prévient : “Mais n’attendez pas six mois !” Connaissant les risques de séquelles consécutives à une telle intervention, depuis il m’attend toujours ! Je n’ai toujours pas le moindre problème.

Merci Monsieur Beljanski.

Partant du constat d’impuissance totale de la médecine conventionnelle, ponctué par un diagnostic fatal à très court terme, il est certain que l’utilisation des formules de Mirko Beljanski m’a été des plus salutaires; n’en déplaise à certains praticiens, qui ont vu dans ma guérison le phénomène de rémission spontanée, ou de guérison miraculeuse à Lourdes, allant même jusqu’à soupçonner leurs confrères d’incompétence en évoquant l’erreur de diagnostic!

Sans penser un seul instant que le seul fait de le suggérer les exposait à la même suspicion!

Pour ma part, j’ai développé et vécu une maladie bien réelle et, dans ma détresse, j’ai eu cette chance inouïe de croiser la route de M. Beljanski et de ce médecin, qui mettait déjà en oeuvre les fruits de ces découvertes.

Aussi, mon souhait le plus cher est que ces formules, fruits d’une patiente et longue recherche, soient enfin reconnues par les instances compétentes et mises à la disposition de tous ceux qui souhaiteraient les utiliser, et que soit enfin reconnu à Monsieur Beljanski le mérite d’avoir poursuivi toute sa vie et dans des conditions souvent difficiles, la réalisation d’un idéal si noble au service de l’humanité souffrante.

Que ce souhait soit à la fois l’expression de ma profonde gratitude et de mes remerciements à Monsieur Beljanski ainsi qu’à tous ceux qui ont collaboré avec lui, pour m’offrir ces années supplémentaires d’un bonheur incomparable.

J’ai été depuis opéré d’une double prothèse aux hanches. J’ai fait une cure de Pao pereira (PAO V®), protection contre les maladies nosocomiales virales, et de Ginkgo biloba (GINKGO V®) pour faire accélérer la cicatrisation. »

Par Jean-Marie Le Guen