Témoignage du Cancer des os


J’ai eu l’occasion de lire sur Dialogue des témoignages très émouvants de malades qui, grâce aux bienfaits des produits Beljanski, utilisés en synergie avec d’autres traitements conventionnels revivaient. Comme toujours les cliniciens étaient très étonnés des résultats inhabituels lorsque la chimiothérapie et la radiothérapie sont utilisées seules. Alors ils s’interrogent, posent des questions aux malades, sur ce qu’ils font en plus, etc.

Le malade en général n’ose pas prononcer le nom de Beljanski par peur de certaines représailles, dont certaines sont indignes du corps médical, et sur lesquelles je ne m’étendrais pas.

J’ai vécu des moments extrêmement difficiles dans le cursus de mon cancer qui a été détecté au cours de l’été 1992. Il a débuté banalement au nez.

Je suis passé entre les mains de nombreux spécialistes pour obtenir un diagnostic précis et j’ai subi toutes sortes de traitements (radiothérapies, enclouages centromédullaires…).

En janvier 1995 le chirurgien avait clairement annoncé à mon épouse : “C’est foutu, votre mari en a pour 3 mois”.

Le médecine reconnaît son impuissance face aux cancers généralisés des os avec métastases périphériques… J’avais noté entre autre, un nom scientifique “carcinome anaplasique à petites cellules” (?) et pour ceux qui savent interpréter une scintigraphie osseuse du squelette, la mienne est impressionnante et n’a pas besoin de discours.

Pourtant, grâce au traitement Beljanski dont j’ai découvert l’existence par M. Claude FAZILLEAU, que je remercie (voir son témoignage “Dialogue” no. 32 et 35) et un médecin prescripteur, très compétent que j’admire beaucoup pour sa modestie, je suis toujours vivant et ceci pose, comme toujours, de nombreuses interrogations a tous les spécialistes qui me connaissent. Si je devais être mort depuis longtemps, et si je survis avec un tel confort, la réponse à un seul nom “Beljanski”. Moi qui ne suis pas intellectuel, je l’ai compris et je n’admets pas que ceux qui se disent intelligents ne veulent pas reconnaître cette évidence. Décidément certains spécialistes manquent de l’essentiel : le bon sens, et ils devraient s’intéresser a ces produits ! C’est un devoir !

Il n’y a pas d’âge pour mourir, mais tous, nous souhaitons que ce soit le plus tard possible, et sans souffrance ! Merci à Dieu pour chaque jour qu’il me donne. Merci à mon épouse pour les soins qu’elle me procure. Merci à vous de faire connaître ces fameux produits qui me donnent ce sursis appréciable.

Par Robert L.