Témoignage cancer du sein

Témoignage de N.M. :
Cancer du sein


Témoignage N.M., Traitement Beljanski

Atteinte il y a maintenant un peu plus de cinq ans d’un cancer du sein, je pense avoir aujourd’hui le recul nécessaire pour témoigner de tout ce que m’a apporté et continue de m’apporter la découverte du traitement Beljanski.

J’en ignorais tout lorsque la mammectomie immédiatement décidée a permis l’exérèse d’un carcinome globulaire infiltrant de 20 mm grade II envahissant le derme, opération suivie d’une seconde pour enlever la chaîne ganglionnaire. J’en ignorais tout encore quand, selon le protocole, ont été prévues une chimiothérapie puis une radiothérapie, suivies d’un traitement antihormonal de 5 ans.

Avec l’appui de ma gynécologue médicale, rejointe par le médecin acupuncteur et le médecin homéopathe qui me suivaient depuis de longues années et pensaient comme moi que je ne supporterais pas, j’ai refusé la chimiothérapie.
Puis j’ai suivi une radiothérapie, trop forte, avec brûlures, sans la protection que, je le sais maintenant, m’aurait apportée le traitement Beljanski.

Je passe sur l’angoisse qui saisit et accompagne tous les cancéreux, et que les soins attentifs de mes médecins réussissaient à rendre quotidiennement plus supportable. Et j’ai commencé le traitement antihormonal, prescrit pour 5 ans.

Et là, je me suis mise à cumuler, peu à peu, tous les effets secondaires répertoriés. Je n’arrivais plus à dormir, j’étais épuisée, mon foie se détraquait de plus en plus, je ne digérais plus, etc.
Ce n’était plus une vie. Je suis allée voir sur Internet ce qu’en disaient les femmes. Cela se ramenait à une chose simple, résumée dans une phrase que je me rappelle encore : « Le matin je me dis que je ne prendrai plus ce comprimé, et le soir j’ai tellement peur de mourir que je le prends. »

C’est alors que je me suis rappelée un livre trouvé dans un centre de documentation, qu’avec la fatigue et sous la pression de tout ce qui concourt au « protocole », j’avais oublié sur une étagère : « Cancer, l’approche Beljanski ».
Je l’ai ouvert, et n’étant pas scientifique, il m’a fallu trois mois pour arriver à penser que je comprenais vraiment les 30 premières pages, pourtant si claires. Trois mois, durant lesquels, grâce à un accueil téléphonique bien pensé et chaleureux, j‘ai pu poser une infinité de questions, et trouver des réponses, autant qu’il m’en fallait, auprès des bénévoles du CIRIS, puis auprès de l’équipe de New-York. Un jour, c’est Monique Beljanski qui a répondu à mes questions. Puis elle a continué, de semaine en semaine, avec une attention, une précision, une patience extraordinaires. Sans jamais insister, accompagnant simplement la compréhension. Ce qui l’intéresse, dit-elle, ce sont les questions.

Ainsi, au bout de trois mois, de lecture, d’interrogations, de réflexion, j’ai été convaincue. Et j’ai commencé, avec cet appui, le traitement Beljanski.

Depuis maintenant bientôt cinq ans, des liens se sont ainsi créés, avec le CIRIS, avec l’équipe de New- York, et, accompagnée de l’attention amicale de Monique Beljanski – toujours disponible -, et sous la surveillance des médecins qui me suivent, prescrivant les analyses nécessaires, j’observe avec régularité le traitement, très simple et sans aucune toxicité – lui – recommandé contre une récidive : deux cures de deux mois par an (Pao pereira, Rauwolfia Vomitoria, Ginkgo, et fragments ARN) – et mes marqueurs sont bons.

J’ai suivi les conseils, et je commence maintenant l’une de mes deux cures à l’automne, ce qui renforce l’immunité au bon moment, et me protège des maux de l’hiver. Grâce au pao pereira, l’herpès récidivant qui me faisait souffrir a pratiquement disparu, et je continue à découvrir de nouveaux bienfaits. Surtout, contrairement à beaucoup après un cancer, je vis maintenant pleinement, sans l’angoisse de la récidive. Et je sais qu’en cas d’imprévu, la Maison Beljanski (quel beau nom !) est là.

J’ai retrouvé mes forces, et cela dans la durée. Je n’ai plus 20 ans, et le vieillissement, bien sûr, ne m’a pas épargnée. Mais à 78 ans passés, je suis restée jusqu’à maintenant en pleine activité, et continue à défendre, en responsabilité, avec l’association dont je fais partie, un domaine de la santé qui me tient à cœur pour les femmes, intervenant, parlementant, et travaillant souvent des journées entières à l’ordinateur.

Je sais que cette vitalité, je la dois avant tout au traitement Beljanski.
D’ailleurs, quand je me sens fatiguée, ou lorsque je pressens une grosse journée, je prends le matin un Real Build, je me sens calme et suis « d’attaque » jusqu’au soir.

Au fil de ces quelques années, j’ai voulu partager. J’ai beaucoup offert les livres de Mirko et Monique Beljanski, donné beaucoup d’explications, d’abord aux thérapeutes qui m’entouraient, et puis à mes proches, à mes amis, et au-delà. La plupart à leur tour ont été convaincus, et je continue.
Quelques-uns, touchés eux-mêmes, ou l’un de leurs proches, par un cancer, ont eu recours au traitement Beljanski. Les autres, en cas de besoin, en connaissent l’existence. Ils ont devant les yeux ma vitalité.

Je me rappelle la joie profonde qui m’avait soulevée en apprenant, après un souci, les résultats de l’analyse qui avait suivi l’une de mes premières cures Beljanski. Une joie pour moi, bien sûr, pour ma vie. Mais bien au-delà, une joie pour cette preuve par le vivant de la recherche Beljanski. Pour cette preuve par le vivant de l’importance vitale des années terribles, de l’acharnement, de la rigueur mis dans cette recherche. De l’importance vitale de son indépendance et de sa liberté, défendues au péril de la vie.

J’avais tout de suite été saisie, et très émue, ayant vécu aux côtés d’un chercheur, et avec un fils qui s’était confronté à ce qu’est la recherche, par l’intégrité, l’exigence irréductible qui se lisent entre les lignes écrites par Mirko et Monique Beljanski, continuées ensuite par leur fille Sylvie, grâce à qui, aujourd’hui, nous pouvons avoir accès à ce qui en est le fruit.

Et s’il faut défendre absolument la nécessité de l’entière liberté de la recherche fondamentale, et donc de celle du chercheur, ce qui implique évidemment que les moyens lui en soient donnés, il faut aussi défendre de toutes nos forces, comme on peut le lire sous la plume de Monique et Mirko Beljanski, ce qui, pour chacun des patients que nous sommes, doit correspondre à la liberté du chercheur : la liberté de choix.

Choisir, en dépit de toutes les pressions, décider de manière éclairée, décider pour sa propre vie, en être libre, est l’acte fondateur qui permet de vivre.

C’est cela qu’on distingue quand on écoute, lors des précieuses journées du CIRIS, ce qui se fait jour à travers toutes les interrogations, toutes les paroles qui s’échangent.

Comme beaucoup d’autres, j’ai décidé. Pour ma vie.
Comme beaucoup d’autres, je ne dirai jamais assez chaleureusement merci.

Par N.M.