Témoignage carcinome épidermoïde du tiers supérieur de l’oesophage
C’est en avril 2005 que l’on m’a diagnostiqué un cancer de l’oesophage (carcinome épidermoïde du tiers supérieur de l’oesophage). Depuis plusieurs mois j’avais du mal à avaler mais je ne disais rien pensant que cela allait s’arranger.
Jusqu’au jour où j’ai failli m’étouffer, ne pouvant même plus avaler de liquide. Hospitalisé, un protocole a été établi et dès le mois de Juin, après plusieurs examens (je suis cardiaque et diabétique) je commence la radio chimiothérapie à haute dose. Je suis très mal, je maigris énormément et mon espérance de vie se limite d’après les docteurs à 3 ou 4 mois.
C’est alors que des amis mes font parvenir la 3ème édition du hors série « Dialogue » et je découvre ainsi les travaux de Mirko Beljanski. La radiothérapie m’a brûlé la peau de l’épaule droite (peau qui a retrouvé son aspect normal quelques temps après), sclérosé la veine jugulaire et je souffrais de dysphonie.
J’ai donc commencé à prendre les gélules de Beljanski à mi-juillet 2005 : Pao pereira (PAO V "FM"®) 7 gélules par jour, Ginkgo biloba (GINKGO V®) 6 gélules par jour, Fragments d’ARN (REALBUILD®) 2 doses par semaine.
Une opération de 12 heures environ était à prévoir fin août 2005. Le bilan effectué auparavant n’étant pas mauvais, j’ai pu éviter cette opération À mon grand soulagement et je pense aussi à celui du chirurgien. Les dernières radio-chimiothérapies se sont mieux passées et terminées à la fin août 2005.
J’en suis maintenant à ma troisième année de rémission (mon médecin généraliste parle de miracle !).
Je ne prends plus que le Pao pereira (PAO V "FM"®) à raison de 4 gélules par jour. Cependant, j’ai toujours des douleurs qui sont des séquelles de la radiothérapie (douleurs de l’épaule droite, de la nuque, maux de tête).
Suite à la parution de mon témoignage dans la revue « Dialogue », j’ai eu et j’ai encore pas mal d’appels. Je pense que ces échanges sont bénéfiques, on se sent moins seul. Me concernant, je fais passer le message que ma rémission actuelle est due en grande partie à l’aide des formules Beljanski, j’en suis convaincu.
C’est un gros message d’espoir pour les malades en traitement. Les formules Beljanski sont un complément dont on ne saurait ou ne devrait se passer.
Aujourd’hui, les résultats des derniers contrôles sont bons.
Encore un grand merci à tous (Mme BELJANSKI, Mme WEIDLICH, le CIRIS et tous les bénévoles)
Par Robert I.