Témoignage Cancer des poumons degré élevé


Monsieur le président,

Pratiquement toujours en bonne santé, le 16 août 1988 je rentre toutefois d’urgence à l’hôpital et malheureusement j’ai dû reconnaitre après de nombreux examens divers que : “Le cancer ça n’arrive pas qu’aux autres !”

Quel choc, le diagnostic des spécialistes était formel et très sombre : “Cancer des poumons”, à un degré déjà si sévère que mon état avait été jugé désespéré. Les docteurs unanimes estimaient qu’il ne me restait que dix à quinze jours, trois semaine au plus à vivre. Mon épouse effondrée avait été informée de ce terrible pronostic afin qu’elle puisse prendre certaines dispositions d’ordre familial.

On commença des séances de chimiothérapies. Ayant eu des informations sur le C.O.B.R.A., j’ai demandé aussitôt de l’aide afin de pouvoir exceptionnellement bénéficier des nouveaux médicaments déjà mis au point par le professeur Beljanski, mais qui ne sont toujours pas commercialisés malgré leur efficacité surprenante. Je savais que ces médicaments biologiques étaient non toxiques, très confortables comme thérapie car se prenant par voie orale et qu’ils pouvaient m’être très utiles avec la chimiothérapie ou la radiothérapie, car seules mes cellules cancéreuses allaient être détruites par les violents poisons qu’on allait m’injecter. S’il y avait une chance sur mille de m’en sortir, la clé s’appelait bien C.O.B.R.A. !

Très vite, j’ai pu apprécier le dynamisme de l’Association. J’ai pu bénéficier très rapidement des produits du Professeur Beljanski. Alors, l’incroyable se réalisa, jour après jour ! J’ai ainsi évité l’opération initialement prévue et j’ai pu traverser six séances de chimiothérapie lourde ainsi que vingt et une séances de rayons (au lieu de trente-cinq) avec un confort tout à fait extraordinaire ! Cela a fait parler beaucoup de monde et on a pu entendre les réflexions suivantes : “Mais il n’a jamais eu le cancer, les médecins se sont trompés !”.

Le médecin traitant, le Docteur S. T. : “Vous êtes bien costaud Monsieur Rousseau pour résister si bien à de telles séances de chimio ! Vous êtes un cas anecdotique ” Si j’étais décédé ainsi que prévu, il n’y aurait rien d’anecdotique mais tout serait normal et on parlerait “d’impuissance actuelle de la médecine devant ce fléau”.

Le diagnostic date d’il y a sept mois et je suis toujours là, plus en vie que jamais pour me battre dans les rangs du C.O.B.R.A. ! Selon mes modestes connaissances scientifiques, la seule personne au monde actuellement capable de réaliser une telle guérison est le Professeur Beljanski. A ce chercheur français, je suis si reconnaissant qu’il n’existe pas de mots assez forts pour exprimer toute ma gratitude. “Comment voulez-vous remercier quelqu’un qui vous sauve la vie ?”

je reste humble mais persévérant et déterminé. Avec le C.O.B.R.A. je vais pouvoir aider ce Professeur au maximum de mes possibilités physiques et intellectuelles. Je vais l’aider financièrement car il manque cruellement de moyens et c’est un scandale ! Je vais l’aider en trouvant de nombreux adhérents pour le soutenir. Je vais l’aider en faisant mieux connaître l’importance de ses travaux et es résultats concrets qu’il est déjà capable d’obtenir dans l’intérêt des malades.

Monsieur le Président du C.O.B.R.A., je vous autorise à utiliser selon votre convenance les deux photos de mes radios des poumons prises en milieu hospitalier et que je vous ai transmises, ainsi que ce témoignage d’un survivant qui se porte bien. Ces photos dispenseront d’explications scientifiques longues et

fastidieuses. Je conserve personnellement et précieusement toutes mes analyses, radiographies et autres résultats d’examens qui ont justifié le si grave diagnostic.

Par André R.