Témoignage cancer des ovaires condamnée à quelques mois de vie


Messieurs,

Je tiens à vous remercier pour votre article sur l’affaire Beljanski. Je déplore que vous n’ayez pas réagi plus tôt (…), car des milliers de malades souffrent et meurent tous les jours, dont des enfants. C’est vraiment dramatique et scandaleux surtout lorsqu’on connaît comme moi l’efficacité incroyable des produits Beljanski, et du très compétent docteur N., grâce à qui ma mère est en vie aujourd’hui.

Le 22 mars 1995, elle était en occlusion lorsqu’elle a été admise en clinique. Après quelques jours d’examens, le chirurgien décide de l’opérer le 28 mars 1995. L’opération devait durer plusieurs heures, mais il ne s’était écoulé que deux heures entre le moment de son départ et et l’arrivée du chirurgien qui annonça la terrible nouvelle : “Je suis désolé Madame, je ne peux rien faire pour votre maman ; elle est condamnée à quelques mois de vie, je n’ai pu que la soulager em lui enlevant l’ovaire droit et en lui faisant une stomie. Je pense que ce n’est pas la peine de faire de chimio, elle ne supporterait pas”. (…)

C’est alors que je décide de me tourner vers la médecine “illégale”. J’ai donc contacté le docteur N. qui q examiné ma mère le 2 mai 1995 ; sa conclusion : “Ne vous inquiétez pas, on va la sortir de là”. Il lui a conseillé les produits Beljanski, et une chimiothérapie qu’elle a bien supportée malgré l’avis de la médecine officielle, et un traitement homéopathique.

Après 6 mois de chimio et toujours le traitement Beljanski, nous avons revu le chirurgien qui m’a simplement dit “Voyez la chimio a très bien fait son effet” sans autres commentaires, car il savait qu’en parallèle, j’allais voir le docteur N. Il avait simplement oublié que, quelques mois plus tôt, il ne m’avait même pas conseillé la chimio. Bref ! C’est un très bon chirurgien quand même. J’ai oublié de vous dire que ma mère vivait seule et qu’elle a continué sa vie pratiquement normalement.

Après six moi, on lui fit refaire un scanner et d’autres examens, le chirurgien décida de la réopérer, ce qui fut un étonnement pour nous car il n’avait jamais parlé de cette éventualité, mais le docteur N. nous rassura en nous disant : “S’il le fait, c’est très bien, c’est qu’il a constaté une grande amélioration”. Après l’intervention qui eut lieu le 30/11/1995 (elle a duré 7h), il m’a déclaré : “J’ai pu travailler, il n’y a plus de nodules, et les grosses tumeurs restantes avaient diminué de moitié. (…) Votre maman a gagné une année ou peut-être deux années de vie”.

Elle est resté pratiquement trois semaines aux soins intensifs et est sortie de clinique quelques jours avant Noël. Ce qui fut un grand bonheur pour nous, car au lieu d’avoir un enterrement, nous avions une renaissance “à fêter”. (C’est le mot qu’il faut employer).

Au début de l’année 1996, le chirurgien l’a de nouveau examinée, il la trouva tellement bien qu’il décida de lui fermer sa stomie, ce qui fut fait le 17/01/1996. Depuis, elle va très bien et même beaucoup mieux car en plus elle a constaté que son arthrose a sérieusement diminué (coïncidence ? Peut-être…) ; elle a rajeuni de plusieurs années et fait plus de choses qu’avant…

La fille de Yvonne L.

Par Marie-Christine T.