BOITEUX Henri

Témoignage cancer de la prostate polypes et arthrose du genou


Ex-Directeur de Recherche au CNRS, 11 ans Administrateur de l’Institut de Recherches Scientifiques sur le Cancer à Villejuif.

Cancer de la prostate polypes et arthrose du genou

Témoignage confirmé en novembre 2011

M. Boiteux est décédé le 18 juillet 2013 à 92 ans.

C’est en juin 1994 que l’on me dé- couvrira un cancer de la prostate qui aurait, selon les spécialistes, une ancienneté d’environ 5 ans.

Etant donné sa position, il est inopérable et on sera obligé de le traiter par radiothérapie. Comme c’est une tumeur ancienne, on a procédé à des examens très complets au cours desquels on découvrira la complication d’une adénopathie susceptible d’être dépendante de ce cancer. Dans ce cas, la radiothérapie n’est pas choisie et on débute un traitement hormonothérapique.

Avec tous ces problèmes, je partirai tout de même en vacances au mois d’août mais en retard. C’est là qu’évoquant mon cas dans une discussion, j’entendrai parler pour la première fois des produits Beljanski, de l’intérêt du radioprotecteur Ginkgo biloba (GINKGO V®) et de l’anticancéreux sélectif Pao pereira (PAO V “FM”®). Je me débrouille pour obtenir ces produits et je commence ce traitement début septembre en parallèle du traitement hormonal à raison de 3 gélules de Ginkgo biloba (GINKGO V®) et 6 gélules de Pao pereira (PAO V “FM”®) par jour.

Au mois de novembre, je me rends en consultation chez mon urologue. Lors de ce contrôle, il constate avec surprise d’une part que la complication a totalement disparu, ce qui signifie bien qu’elle provenait du cancer de la prostate, et d’autre part que la tumeur de la prostate est en régression.

J’avoue alors à mon urologue avoir pris des produits Beljanski en plus de son traitement. S’il fait celui qui ne veut pas l’entendre, j’apprécie son attitude coopérative lors de la rédaction de son ordonnance dans laquelle il décide de poursuivre l’hormonothérapie et rajoute verbalement que je pouvais prendre en plus ce que je voulais. Je n’ai jamais eu de radiothérapie pour traiter ce cancer de la prostate.

En juin 1995, la tumeur avait disparu et j’ai continué encore quelques temps mon traitement hormonothérapique associé aux produits Beljanski.

En tant que scientifique, je m’interrogeais sur ce qui avait bien pu me guérir. Je souhaitais sa- voir lequel des 2 traitements avait abouti à cet heureux événement. J’ai donc décidé d’arrêter le traitement Beljanski en donnant priorité au traitement classique. J’informe le médecin qui m’avait conseillé les produits Beljanski de ma décision et celui-ci me met en garde sur la gravité d’une éventuelle récidive. Devant ce risque, je reprends au bout d’un mois et demi mes produits Beljanski et je continue le traitement hormonal. Ceci jusqu’en juin 1995, date à laquelle mon urologue constatera que pratiquement ma tumeur a disparu à l’exception d’un reste de tissus prostatique. Je peux confirmer l’efficacité et la non toxicité des produits Beljanski. Par ailleurs, j’ai constaté en Juin 1995, au cours de ma décision d’arrêter les produits Beljanski pendant quelques temps que mon arthrose du genou qui me faisait sourire habituellement était revenue m’incommoder. Les produits Beljanski avaient supprimé ces douleurs qui ont redisparu dès que je les ai repris. Je me considère comme guéri. A 91 ans, je vis en bonne santé et j’ai toujours de nombreuses activités…

En tant qu’ancien Administrateur de l’Institut de Recherches Scientifiques sur le cancer du CNRS, quand j’ai connu l’existence des produits Beljanski, j’ai été sidéré de constater que pendant les 11 ans où j’ai vécu dans le milieu du cancer, je n’avais jamais entendu parlé de Mirko BELJANSKI et de ses produits.

Il est clair que d’un point de vue scientifique, Mirko BELJANSKI a fait une découverte qui avait le malheur d’être totalement contraire à une affirmation péremptoire de Jacques MONOD, prix Nobel et Pastorien. Or M. BELJANSKI travaillait à l’Institut Pasteur.

Au début, il a eu la chance que le Professeur LEPINE qui était Président du Conseil d’Administration le soutienne ; mais quand celui- ci a été mis à la retraite, alors les autorités de l’Institut Pasteur se sont déchaînées contre M. BELJANSKI car il avait commis le crime de lèse Institut Pasteur. La découverte de BELJANSKI sur les bactéries, et refusée par J. MONOD, avait été faite au même moment (1970) sur les virus par un chercheur américain, Howard TEMIN, ce qui a valu à ce dernier le Prix Nobel en 1975. Par la suite TEMIN confirmera que BELJANSKI est bien le premier à avoir fait cette découverte sur les bactéries.

Comme toujours on ne pense pas à sa santé quand on est bien portant, c’est au bout de dix ans que j’ai réalisé que les polypes que j’avais dans les narines ne repoussent pas. Je les avais fait arracher par un oto-rhino-laryngologiste, lequel m’avait assuré qu’ils repousseraient, car la médecine ordinaire n’a aucun remède contre les polypes. En plus de tous ses bienfaits, la thérapie Beljanski a résolu un problème insoluble par la méthode classique.

Nous éprouvons un profond respect et beaucoup de reconnaissance pour cet homme présent à nos côtés, sans faillir, à chaque occasion douloureuse ou fraternelle. Humain, il partageait son témoignage avec enthousiasme parce qu’il savait qu’il apportait un réconfort au malade. Il avait à cœur de participer à la reconnaissance scientifique du chercheur Mirko Beljanski.

Par M. Boiteux