Qu’est ce que l’oncologie ?

Le terme oncologie signifie littéralement une branche de la science qui traite des tumeurs et des cancers. Le mot « onco » signifie masse, ou tumeur, tandis que « -logy » signifie étude.

Qu’est-ce que le cancer ?

Chacune des cellules du corps a un système étroitement régulé qui contrôle sa croissance, sa maturité, sa reproduction et sa mort éventuelle. Le cancer commence lorsque les cellules d’une partie du corps échappent à tout contrôle. Il existe plusieurs types de cancer, mais ils commencent tous à cause de la croissance incontrôlée des cellules anormales. Qu’est-ce qui déclenche une croissance incontrôlée ? C’est justement la question que le chercheur Dr ès science Mirko Beljanski s’est posée. Il a montré que TOUS les tissus cancéreux avaient en commun un ADN « déstabilisé » (zone ou les deux brins formant la double chaîne d’ADN ne sont plus reliés par des liens hydrogènes). (1) Ce qui est très important est le phénomène de corrélation entre la déstabilisation de l’ADN et son aptitude à s’auto-répliquer. Une fois déstabilisée, la cellule se reproduit plus vite qu’une cellule saine.(2, 3) On peut mesurer cette déstabilisation de plusieurs façons : point de fusion ou spectroscopie par exemple. La déstabilisation en présence de différents agents correspond à l’impact de ces substances sur différents sites de l’ADN: c’est ce fameux « effet cocktail ». (4) En d’autres termes, les multiples “petites toxicités” ne sont pas inoffensives, elles s’accumulent les unes aux autres. Beaucoup plus fréquent que les mutations, cet impact sur l’intégrité de l’ADN par toutes sortes de molécules naturelles parfois mais plus souvent chimiques est responsable de la grande majorité des cancers.

Quelle est la fréquence du cancer ?

Aujourd’hui, des millions de personnes vivent avec un cancer ou ont eu un cancer. Le cancer est la deuxième cause de décès dans les pays développés. Environ la moitié des hommes et le tiers des femmes américaines développeront un cancer au cours de leur vie. Cette augmentation désastreuse est en grand partie liée à l’omniprésence de la pollution (chimique, industrielle, biologique etc.) qui « déstabilise » les génomes (ADN), ce qui altère la capacité de régulation physiologique des molécules biologiques. Ainsi d’altération en altération, la cellule se dérègle et bascule vite, pollution aidant, dans le camp de la pathologie.

Depuis combien de temps le cancer existe-t-il ?

Les archéologues ont trouvé des anomalies suggérant un cancer des os appelé ostéosarcome chez ces momies d’ancienne Égypte. La première description connue du cancer se trouve dans le Edwin Smith Papyrus et remonte à environ 3000 avant JC. Il décrit 8 cas de tumeurs ou d’ulcères du sein qui ont été traités par cautérisation. Le papyrus décrit le cancer comme « incurable ».

Rôle d’un oncologue

Les professionnels de la santé spécialistes du cancer sont appelés oncologues. Ces thérapeutes ont plusieurs rôles spécifiques. Ils aident au diagnostic du cancer, à la mise en scène du cancer et évaluent la nature agressive du cancer.

Outils de diagnostic en oncologie

La recherche en cancérologie et en oncologie consiste à dépister les cancers dans la population générale et parfois à dépister les parents des patients (dans les cas de cancer considérés comme héréditaires, ce qui représenterait environ 8 à 10% des cas). L’outil de diagnostic le plus important reste l’histoire clinique du patient. Les symptômes courants qui pointent vers le cancer incluent la fatigue, la perte de poids, l’anémie inexpliquée, la fièvre d’origine inconnue, etc… L’oncologie dépend des outils de diagnostic comme la biopsie ou l’enlèvement de morceaux de tissu tumoral à examiner sous le microscope. Les méthodes courantes comprennent les tests sanguins par les marqueurs biologiques ou tumoraux. L’élévation de ces marqueurs dans le sang peut indiquer le cancer. D’autres outils incluent l’endoscopie pour le tractus gastro-intestinal, les examens d’imagerie comme les rayons-X, la tomodensitométrie, l’IRM, l’échographie et d’autres techniques radiologiques, la scintigraphie, la tomographie par émission monophotonique, la tomographie par émission de positrons, la thermographie (qui observe les masses plus « chaudes » du corps), et les techniques de médecine nucléaire. Le dépistage du cancer du sein se réalise majoritairement par une mammographie régulière et le dépistage familial par une analyse génétique. Mais il ne faut pas perdre de vue que la répétition excessive de radiations, liée à tous les appareils de dépistage finit par altérer les chromosomes (ADN) et conduit à des pathologies graves… dont des récidives de cancer. Ainsi si les mammographies, radios, TEP-scan, ont une utilité certaine, leur excès ne sont pas sans altérer les conditions génétiques des patients. Bien que ces techniques aient fait progresser la qualité des diagnostics, leur rôle ne sont pas de traiter le patient.

Thérapie du cancer

Une fois le diagnostic affiné, une commission au sein de l’hôpital se réunira pour statuer sur l’approche conventionnelle à administrer au patient. Le plus souvent, il s’agit de chirurgie (couper la tumeur), de chimiothérapie (empoisonner les cellules), de radiothérapie (brûler les cellules), ou d’immunothérapie (renforcer le système immunitaire). Dans certains cas, cette commission proposera que le patient entre dans un groupe participant à une phase test d’un nouveau produit « à l’essai ». Une partie des patients sélectionnés recevra le traitement à l’étude tandis que l’autre se verra administrer un placebo. A noter que selon l’Article L1111-4 du code de la Santé Publique Français : « Aucun acte médical, ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne, et ce consentement peut être retiré à tout moment. » Rarement l’hôpital recommandera une approche holistique et naturelle, même s’ils en reconnaissent les bienfaits. Ce domaine appartient aux médecins des villes et aux naturopathes.

D’autres spécialistes

Le traitement du cancer peut également impliquer d’autres spécialistes, tels que radio-oncologues (ou radiothérapeutes), chirurgiens, etc. L’ensemble de la thérapie anticancéreuse est coordonné par les oncologues. Par conséquent de nombreux malades ignorent les possibilités complémentant ces thérapies, notamment celles offertes par des traitements naturels. Les effets secondaires, parfois très difficiles à supporter, ne sont pas toujours adressés. Par exemple, la chimiothérapie peut induire une chute des globules blanches (nécessaires à la lutte contre d’éventuelles infections), une baisse du nombre de plaquettes (thrombopénie, pouvant entraîner des saignements des gencives, du nez, des petites marques rouges sur la peau…), attaquer le foie, etc… La radiothérapie quant à elle peut induire des brûlures au long terme, des fibroses, etc. Les médecins généralistes et les naturopathes, qui complètent le travail de l’hôpital, conseilleront plus librement leurs patients. Ils disposent d’une indépendance de jugement leur permettant de parler d’autre chose que des seuls traitements conventionnels. En effet, tout médecin, bien que le serment d’Hippocrate fait à l’issue de ses études ne soit pas juridiquement reconnu, est libre de proposer l’approche thérapeutique de son choix. En effet, la Cour de Cassation de 1957 précise aux médecins « Lorsque vous pensez et que vous êtes certains de pouvoir utiliser des produits qui ont fait leurs preuves dans les pays étrangers, et bien utilisez-les ».

Rechute et rémission

Une fois la thérapie initiale terminée, les oncologues sont responsables du suivi du patient pour détecter la rechute ou la rémission. Rechute signifie la récurrence ou le retour du cancer. Rémission signifie rester sans cancer. Sur la base des protocoles du Dr. Marcowith (« Beljanski Cancer santé et prévention », ed/ Trédaniel) il est vivement conseillé aux personnes ayant eu un cancer et déclarées en « rémission » de prévenir les éventuelles récidives par des cures deux fois par an de Pao pereira et de Rauwolfia vomitoria (de préférence au printemps et à l’automne, lorsque les organismes sont les plus fragiles). Ainsi toute reprise éventuelle est détruite avant même d’avoir pu faire de nouveaux dégâts. En période de stress ou de fatigue, une prise hebdomadaire de fragments ARN Beljanski (commercialisés sous le nom RealBuild®) permet de stimuler légèrement les défenses immunitaires et de mieux se protéger contre les risques de maladies ou les récidives.

Soins palliatifs

L’oncologue est également responsable des soins palliatifs ou symptomatiques chez les patients atteints de malignité terminale. Lorsque la maladie est fortement avancée, la prise du Pao pereira Beljanski permet souvent d’éviter les douleurs (liées aux compressions) et le patient, au dire de ses proches, est beaucoup plus calme et apaisé. Ceci est lié à l’effet anti-inflammatoire du Pao pereira.

Progrès en oncologie

Il y a énormément de recherches en cours dans tous les domaines de l’oncologie, allant de la biologie des cellules cancéreuses aux traitements de chimiothérapie, en passant par les soins palliatifs optimaux et le soulagement de la douleur. Cela fait de l’oncologie un domaine en constante évolution ou de science vivante. Malgré les investissements publics et privés considérables, les traitements sont restés, depuis 50 ans, toujours basés sur les mêmes principes et sont toujours plus agressifs. En raison du postulat (pourtant dépassé (1)(5)) d’absence de différence entre une cellule saine et une cellule cancéreuse, ou de leurs génomes (ADN), la recherche ne peut significativement avancer. L’hôpital n’offre par conséquent aucun traitement sélectif uniquement contre les seules cellules cancéreuses et sans effet secondaires. C’est ici que se révèle l’intérêt tout particulier des produits mis au point par Mirko Beljanski.
(1) “Correlation between in vitro DNA synthesis, DNA strand separation and in vivo multiplication of cancer cells.” M. Beljanski, M. Bourgarel, M.S. Beljanski; Experimental Cell Biology 49, :220-231 (1981) (2) “Possible role of markers synthesized during cancer evolution: I- Markers in mammalian tissues“; M. Beljanski, T. Nawrocki, L. le Goff, IRCS Med. Sci. 14, 1986, pp. 809-810. (3) “Possible role of markers synthesized during cancer evolution: II- Markers in crown-gall tissues”, L. le Goff, M. Beljanski; IRCS Medical Science 14, 1986, pp. 811-812. (4) “Metabolic Effects of a Chronic Dietary Exposure to a Low-Dose Pesticide Cocktail in Mice: Sexual Dimorphism and Role of the Constitutive Androstane Receptor”; Environmental Health Perspect; Research Centre in Food Toxicology (INRA), DOI:10.1289/EHP2877 (5) “Fourier-transform infrared spectroscopy gas chromatography-mass spectrometry reveal a remarkable degree of structural damage in the DNA pf wild fish exposed to toxic chemicals”; D.C. Malins, S.J. Gunselman. Proc. National Academy of Science. USA  91 : 13038-13041 (1994).