Des extraits naturels de plantes et de bactéries non pathogènes, aux propriétés spécifiques anticancéreuses, antivirales, régulatrices, antihémorragiques  et rétablissant l’immunité. Ils agissent selon le principe de non toxicité pour les cellules saines, en synergie des traitements conventionnels.

Etat précancéreux (Stade 1)


Atténuer et prévenir le développement, ou le démarrage de la tumeur.

Peut être considéré comme potentiellement précancéreux, l’état de personnes présentant une probabilité élevée de développer un cancer de la prostate, sans que cela soit déjà diagnostiqué.

Caractéristiques d’un état précancéreux :

  • âge de cinquante ans et plus, le risque croît avec l’âge il atteint progressivement près de 100% à l’âge de 90 ans.
  • présence d’une hyperplasie bénigne de la prostate qui évoluera vers une tumeur dans un nombre croissant de cas.
  • antécédents de cancer de la prostate ou des ovaires  dans la famille proche.
  • présence de troubles de la miction, avec obésité, sédentarité (conduisant en principe vers une recherche de diagnostic de cancer ).

Le traitement Beljanski commencera par un régime pour traiter éventuellement l’obésité, accompagné d’un balayage du corps par une cure annuelle de deux mois d’extraits Beljanski tels que Pao pereira et Rauwolfia vomitoria, à des doses convenables. Ce traitement pourra atténuer voire prévenir le développement, ou le démarrage de la tumeur.

 

Ces alcaloïdes de la classe des béta-carbolines, du genre flavanones et flavonoïdes tels que, l’alstonine (provenant du Rauwolfia vomitoria originaire d’Afrique), la serpentine, la sempervirine ou la flavopereirine (provenant de Pao pereira, un poirier  du Brésil) réagissent sur les sites ouverts de l’ADN cancéreux et empêchent toute reproduction. La cellule cancéreuse meurt par apoptose. De nombreux patients ayant pris régulièrement ces alcaloïdes ont guéri définitivement de leur cancer. De plus, ces alcaloïdes ne réagissent que sur les sites ouverts des ADN cancéreux. Ils ne touchent pas les cellules saines. Ils ne présentent donc pas de toxicité aux doses thérapeutiques utilisées.

Etat cancéreux localisé (Stades 2 et 3)


Synergie avec la radiothérapie pour une meilleur efficacité, réduction des effets secondaires et préservation de l’immunité.

Les symptômes ont conduit le malade à faire diagnostiquer et traiter une tumeur qui reste localisée à la glande et aux vésicules séminales à proximité.

 

En accompagnement et complément  d’un traitement conventionnel, par radiothérapie, curie thérapie, ultrasons HIFU et, d’un régime pour traiter éventuellement l’obésité, le traitement Beljanski consistera conjointement en la prise d’extraits tels que Pao pereira et Rauwolfia vomitoria, à des doses convenables. Ceci permettra  d’attaquer la tumeur en profondeur s’appuyant sur les entrées pratiquées dans les cellules cancéreuses affaiblies par les moyens conventionnels.

 

De plus, la prise de l’extrait Ginkgo Biloba en même temps que la radiothérapie ou, la Curiethérapie va permettre de diminuer les effets secondaires de ces traitements et atténuera l’apparition de fibroses radiques, dont les conséquences sont invalidantes.

 

Le Ginkgo Biloba est un arbre qui a résisté aux rayonnements nucléaires destructifs au Japon. La prise Ginkgo Biloba permet de résister aux effets secondaires de la radiothérapie (et de la curiethérapie), et d’éviter les fibroses consécutives à ces rayons.

Enfin en cas de risque d’atteinte de l’immunité, lors de la radiothérapie, une prise sublinguale de Fragments ARN, la veille et ensuite pendant les semaines des traitements, permet le retour de l’immunité, la régénération des thrombocytes et apporte une protection contre les fractures chromosomiques et la destruction des cellules tueuses Net K.

 

Les fragments ARN sont issus d’une bactérie Escherichia coli spécifique. Il facilite la multiplication des globules blancs et des plaquettes sains, mais sans toucher aux globules blancs et aux plaquettes cancéreux, s’il y en a, reconstruit le stock immunitaire de leucocytes, et de plaquettes (thrombocytes) en cas de diminution importante.

Etat cancéreux avancé ( stade 4)


Efficacité des extraits Beljanski lorsque les chimiothérapies ne sont plus efficaces.

Le cancer a dépassé le stade local, il s’est propagé aux organes environnants et éloignés, poumons cœur, foie, les métastases se développent sous l’action de la testostérone. Des traitements de chimiothérapie ou d’hormonothérapie vont être introduits dans la circulation sanguine pour atteindre les métastases, là où elles auront migré.

Le traitement Beljanski , à ce stade sera à base de Pao pereira, Rauwolfia vomitoria, pour attaquer les cellules cancéreuses affaiblies par les traitements conventionnels, étant répandus dans le sang, ils atteindront les métastases jusque dans le cerveau (passant la barrière méningée). Leurs caractéristiques anti cancer sont d’autant plus efficaces que les traitements conventionnels auront déjà malmené les cellules tumorales . Ginkgo Biloba pour son action dans la régulation des globulines, protection du génome et des protéines enzymatiques et sa réduction des effets secondaires des traitements conventionnels, apporte un confort aux malades dans les traitements agressifs.

Les traitements affectant gravement les cellules hématopoïétiques, et l’immunité nécessaire au malade, une prise de Fragments ARN avant et pendant les traitements permettra de protéger et de restaurer l’immunité, plaquettes et globules blancs, sans induire de prolifération des cellules malignes. Ces prises sublinguales sont à faire, juste avant, et pendant la chimiothérapie pour éviter les aplasies.

Il arrive qu’au bout d’un certain temps, les traitements ne soient plus efficaces, la tumeur et  les métastases deviennent résistantes et continuent leur développement. Les thérapies conventionnelles n’ont plus alors de solution à apporter.

A ce stade les extraits Beljanski présentent encore  l’intérêt majeur d’être efficaces contre des tumeurs hormono-résistantes et chimio-résistantes ravivant les synergies.

Des alcaloïdes de la classe des béta-carbolines, du genre flavanones et flavonoïdes tels que, l’alstonine (provenant du Rauwolfia vomitoria), la serpentine, la sempervirine ou la flavopereirine (provenant de Pao pereira, un arbre du Brésil). Ces alcaloïdes réagissent sur les sites ouverts de l’ADN cancéreux et empêchent toute reproduction. La cellule cancéreuse meurt par apoptose. De nombreux patients ayant pris régulièrement ces alcaloïdes ont guéri définitivement de leur cancer. De plus, ces alcaloïdes ne réagissent que sur les sites ouverts des ADN cancéreux. Ils ne touchent pas les cellules saines. Ils ne présentent pas de toxicité aux doses thérapeutiques utilisées.

Les fragments ARN sont issus d’une bactérie Escherichia coli spécifique, facilite la multiplication des globules blancs et des plaquettes non cancéreux, mais sans toucher aux globules blancs et aux plaquettes cancéreux, s’il y en a, et reconstruit le stock immunitaire de leucocytes et de plaquettes (thrombocytes) en cas de diminution importante.

Le Ginkgo Biloba est un arbre qui a résisté aux rayonnements nucléaires destructifs au Japon. La prise Ginkgo Biloba permet de résister aux effets secondaires de la radiothérapie (et de la curiethérapie), en particulier d’éviter les fibroses consécutives à ces rayons.

Ces extraits sont couramment utilisés en France et aux Etats Unis

Traitements traditionnels du cancer de la prostate


Radiothérapie externe de la prostate

Radiothérapie externe de la prostateElle utilise un rayonnement à haute énergie pour détruire les cellules cancéreuses. Les cellules saines sont également lésées par ce traitement mais sont plus résistantes. Il n’est pas possible de ne traiter que les cellules malignes. La dose totale de rayons appliquée sur la prostate doit être étalée dans le temps, irradiations journalières de quelques minutes. En principe indolore, l’irradiation provoque des brûlures qui sont ensuite parfois sensibles en périphérie. Dirigée informatiquement, l’atteinte de la cible est très précise sur les matériels récents. (Elle peut être pratiquée en complément de la prostatectomie pour détruire les reliquats cancéreux potentiels.)

Inconvénients de la radiothérapie

Séquelles histologiques, fibrose dans la zone irradiée (peut être prévenue par du Ginkgo Biloba ), apparition de cancer secondaires à long terme dus aux rayons, (nécessité de surveillance active).

Traitement chimiothérapie prostate

Traitement chimiothérapie prostateQuand le cancer est arrivé à un  stade avancé et a dépassé la glande, elle sert également à prévenir ou combattre d’éventuelles métastases. En chimiothérapie, on utilise des produits  cytotoxiques pour détruire les cellules cancéreuses, ce traitement est également agressif pour les cellules saines mais dans une moindre mesure.

  • traiter un cancer de la prostate qui s’est attaqué à d’autres endroits du corps (métastases) (en association avec de l’hormonothérapie).
  • traiter un cancer de la prostate résistant à l’hormonothérapie (appelé cancer de la prostate hormono-résistant)
  • soulager la douleur ou maîtriser les symptômes d’un cancer avancé de la prostate (chimiothérapie palliative)

Les extraits Beljanski, Maison Beljanski, Pao Pereira et Rauwolfia Vomitoria actifs sur les cellules cancéreuses seules  peuvent aider à briser l’Hormono- résistance et, le Fragments ARN, aide à protéger et reconstruire l’immunité et la réserve de thrombocytes altérées par la chimiothérapie.

Curiethérapie prostate

Curiethérapie prostateLa curiethérapie est une technique d’irradiation de la prostate par des grains radioactifs introduits directement dans la prostate sous contrôle échographique. L’implantation est définitive. Les radiations émises vont baisser régulièrement pour devenir négligeables au bout de 6 mois.

Elles sont réputées inoffensives pour l’entourage. Il est simplement déconseillé de prendre des enfants sur les genoux les premiers mois après l’implantation.

Traitement de la prostate par ultrasons haute intensité focalisés (HIFU°)

ultrasons traitement de la prostateLe traitement par ultrasons soigne le cancer localisé de la prostate en concentrant le faisceau d’ultrasons sur la zone pathologique de la prostate. Il se produit une augmentation de la température à environ 80° qui détruit  les cellules ciblées de la glande sans endommager les tissus environnants. Le traitement par ultrasons ne nécessite pas d’incision ni de radiation (non invasif) et a fait preuve de son efficacité thérapeutique

Traitement hormonal de la prostate

Traitement hormonal de la prostate(Utilisé dans le cas d’un cancer disséminé ou en cas d’échec de traitement local). Prise de produits qui réduisent  la production d’hormones males (testostérone) en freinant la multiplication des cellules prostatiques cancéreuses et normales Traitement continu à vie ou temporaire, associé à la radiothérapie, ou intermittent pour limiter les effets indésirables.

Féminisation des caractères sexuels secondaires, développement des seins, baisse d’activité sexuelle jusqu’à impuissance, bouffées de chaleur, décalcification à long terme, adaptation du cancer qui repart après un temps plus ou moins long (obligeant à modifier le traitement)

Autres techniques connues …

  1. La cryothérapie (-40°C) congèle et tue les tissus cancéreux. Les aiguilles sont appliquées à travers le périnée, également sous contrôle échographique ;
  2. Le laser opère une destruction thermique du cancer ;
  3. La radiofréquence attaque le cancer de la prostate à l’aide de champs magnétiques ;
  4. L’électroporation entraîne une mort cellulaire grâce au passage d’un courant électrique dans la prostate

Pratiques traditionnelles de surveillance

Lorsque la tumeur est asymptomatique et considérée à évolution lente, l’alternative d’un report du traitement et d’une surveillance active est de plus en plus souvent envisagée. Trois actes à intervalles définis,  dosage des PSA, toucher rectal et  biopsie de contrôle.

Prostatectomie

C’est l’ablation chirurgicale de la prostate et des vésicules séminales. Elle implique de reconstruire la continuité en faisant une suture entre la vessie et le canal de l’urètre. Elle est parfois associée au prélèvement de ganglions en relation avec la prostate  pour réaliser une analyse plus précise du stade de la maladie.