Dr. Marcowith sur le traitement des patients atteint d’un virus HIV positif

Au moment où un patient reçoit un premier diagnostic « HIV positif », il est généralement en bonne santé. Or, presque tous les traitements homologués anti-VIH infligent dès le début, des effets secondaires non négligeables et parfois irréversibles. En conséquence, un grand nombre de patients et leurs médecins choisissent ensemble de retarder le début d’un traitement antiviral homologué anti-VIH. Dans un tel cas, l’extrait de Pao pereira, qui est un antiviral naturel, peut être suggéré comme une mesure immédiate/intérimaire. L’action d’inhibition virale de l’extrait de Pao pereira contre le rétro-virus VIH a été plusieurs fois démontrée en laboratoire et dans des essais-pilotes[1]. Quand cette molécule rencontre une cellule dont l’ADN a été déréglé (ex : par un virus), l’extrait de Pao pereira pénètre dans cette cellule et vient s‘intercaler directement sur les purines des ADN ouverts aussi bien que sur les purines des ARN à simple brins. Cette intercalation entraîne une inhibition de la transcription des virus ainsi qu’une inhibition de la réplication du pro-virus ; ce qui interrompt le cycle du virus à toutes les étapes (y compris pour les virus actifs logés derrière la barrière méningée). Il faut noter cependant que l’extrait de Pao pereira ne peut pas déloger les provirus dont le génome est « caché/latent » dans l’ADN de cellules en apparence saines. Ce produit n’inhibe que les virus circulants. D’où la nécessité de prendre des doses d’entretien de cet extrait naturel pour que l’organisme soit constamment en position d’inhiber tout virus éventuellement réactivé à partir du provirus. Cette approche est possible et même facile parce que l’extrait de Pao pereira est un inhibiteur anti-viral qui n’a pas d’effets secondaires et ne développe pas de résistance. L’état clinique, l’absence des maladies opportunes, l’arrêt de la chute des CD4 devraient montrer après quelques mois l’intérêt, ou non, de prolonger le recours à cet antiviral naturel. Il est important de suivre les « Conseils d’accompagnement » (ci-après). La dose quotidienne de maintien est de 1 gélule par 10 kg, réparties en 3 fois, avant les repas (préférablement 30 minutes avant). En phase d’attaque, ce dosage peut être doublé sécuritaire ment. Par ailleurs, si le taux de globules blancs est bas, on peut recourir aux ARN-amorceurs. Cependant, pour éviter que les nouveaux globules blancs ne soient eux-aussi contaminés, il est recommandé d’attendre que le Pao pereira ait pu diminuer la charge virale (+/- 2 mois) avant de commencer la prise de ces ARN-amorceurs. (1 par semaine).  

Conseils d’accompagnement d’un patient atteint du sida

  1. Le soleil n’est pas conseillé aux personnes atteintes de cancer ou du SIDA. Les U.V. stimulent la multiplication des cellules cancéreuses et des virus.
  2. Un régime riche en fer (viandes rouges, lentilles, persil…) est à déconseiller à toute personne atteinte de cancer ou d’une maladie virale. Le fer stimule la multiplication des cellules cancéreuses et virales. Il peut également perturber l’activité de certaines enzymes.
  3. Un excès de calcium (Ca++) peut être nuisible à certaines lignées sensibles de lymphocytes. A contrôler si le taux des lymphocytes est très bas.
  4. Des prises de magnésium à des doses raisonnables, sont toujours souhaitables chez les malades atteints de cancer ou de sida. La pathologie mais également les traitements de chimiothérapie ou radiothérapie modifient et amplifient l’activité des nucléases du sang. Le magnésium et le Ginkgo permetent de réduire cette activité excessive.
  5. ZINC : à surveiller dans les pathologies cancer et SIDA. Son taux doit rester normal. Peu de zinc ou trop de zinc entraînent des perturbations au niveau des lymphocytes.
    1. Si trop de zinc, l’abaisser par le jeu du cuivre et magnésium en dose pondérale. Éviter les aliments riches en zinc (huîtres, grains de blé, levures, laitues…). Ne pas perdre de vue qu’une diète de zinc entraîne une diminution de l’activité de la catalase dans les reins et le foie,
    2. Si pas assez de zinc, donner du zinc (l’orothate de zinc est bien assimilable). Doses pondérales en 2 fois/jour. Bien surveiller sa remontée et cesser d’en administrer dès que le taux a atteint des valeurs normales.
  6. CUIVRE : un excès de cuivre peut provoquer une carence en zinc. Prescrire du zinc en dose pondérale pendant un mois environ.
  7. Les prises d’hormones, d’antihormones ou de corticoïdes sont à éviter avec les prises de Rauwolfia. Il y a compétition, ce qui diminue l’effet de chacun. Dans ce cas, remplacer l’extrait de Rauwolfia par celui de Pao, qui a un effet similaire.
  8. Il est préférable d’exclure toute prise de pansement gastro-intestinal à base d’argiles et/ou alumine.
  9. Dans toute circonstance montrant un taux élevé de ferritine., éviter la vitamine C. La ferritine bloque la formation de l’hémoglobine dans le foie et dans la moelle osseuse et fragilise les globules rouges. La dégradation des globules rouges libère le fer : la ferritine augmente. À surveiller surtout si le patient a subi plusieurs transfusions.
  10. Lorsqu’il y a transfusions à répétition, penser aux anticorps pouvant détruire les cellules du sang (globules blancs, plaquettes) et pouvant les détruire au fur et à mesure que les ARN-fragments peuvent les générer.
  11. L’insuline n’interfère pas avec ces extraits.
  12. L’héparine peut empêcher les ARN-fragments d’agir. Attendre la fin de la cure d’héparine pour utiliser les ARN-fragments.
  13. Mammographies, échographies à répétition peuvent entraîner une déstabilisation des chromosomes. La réparation est favorisée par la prise des ARN-fragments une à deux heures avant les examens.
  14. Lors des explorations radio-isotopiques (scintigraphie, mesure du débit d’organe par marqueurs radio-actifs, synoviorthèse, etc.), donner des ARN-fragments quelques heures avant chacun des examens afin de protéger contre les cassures de chromosomes.
  15. Le sélénium et la riboflavine ne doivent pas manquer. Surveiller car un taux trop faible en sélénium favorise la cirrhose du foie.
  Les rares cas dans lesquels ARN Amorceurs n’est pas suffisamment efficace sont les suivants : soit un manque d’hémoglobine (globules rouges inférieurs à 2,5 millions), soit un excès de ribonucléase (ce dernier cas pouvant être en partie pallié par la prise de magnésium). Au-dessous de 2,5 millions de globules rouges il se produit une libération de ferritine et la synthèse des globules blancs et des plaquettes est considérablement ralentie. La ferritine entre dans la moelle osseuse et dans le foie, empêchant la synthèse d’hémoglobine, phénomène qui entrave considérablement l’efficacité du ARN Amorceurs  

Essai clinique Sida et Pao pereira Beljanski

Une étude pilote sur la phase I humaine a été menée pour évaluer la tolérance et la faisabilité d’un traitement de douze mois dans un groupe homogène de dix patients HIV positifs (AIDS-Related Complex – ARC). Cette étude a été développée entre 1990 et 1993 à l’hôpital Français de Laperonie (un établissement pour les personnes à risque à court terme de développer le SIDA) et les résultats ont montré que, bien qu’aucune résistance aux médicaments n’ait été développée, il y avait une tendance à la normalité de tous les indicateurs du VIH à 50%. Les chercheurs de l’étude clinique ont conclu que l’extrait de Pao pereira sous forme de capsules de PB-100 (aujourd’hui connu sous le nom de Pao V « FM ») pourrait être considéré comme prometteur. Les résultats publiés indiquent les informations importantes suivantes pour les patients atteints du VIH d’infections sévères au VIH et enrôlés dans cet essai clinique durant 12 mois:
  • aucune résistance aux médicaments n’a été développée;
  • le nombre de CD4 + dans le sang de VIH infecté s’est amélioré au lieu de continuer à tomber;
  • le rapport CD4 / CD8 a augmenté et a donc été amélioré : l’antigène P24 des patients malades (mesure d’immunité hautement utilisé par les spécialistes des maladies infectieuses) n’a pas changé chez huit des patients infectés par le VIH; dans deux autres, cependant, le même antigène est devenu négatif chez un patient et stable dans un autre. Ainsi, on voit une tendance à la normalité de 50 pour cent.
  Les résultats de cet essai clinique ont été publié en 1994 sous le titre : “Tolérance et faisabilité d’une thérapie de 12 mois utilisant l’agent antirétroviral PB-100 chez les patients complexes liés au Sida.” Donadio D., et al. Dtsch. Zschr. Onkol. 26(6):145-149, 1994.   Plusieurs vétérinaires ont utilisé avec succès l’extrait de Pao pereira sur des animaux, principalement des chats, qui étaient soit infectés par le virus FIV du félin, soit par le rétrovirus de leucose. Il semble que l’extrait de Pao pereira ait un très large éventail de possibilités contre de nombreux virus. Mirko Beljanski avait élargi ses recherches étudiant l’alcaloïde de Pao pereira sur le virus de la grippe, les virus des plantes et pour le virus de l’érythroblastose. (L’érythroblastose est la présence d’un nombre surabondant de globules rouges, une condition observée dans l’anémie mortelle – connue sous le nom d’anémie pernicieuse – en rechute. Un virus est la source sous-jacente de cette pathologie.)   Pour en savoir plus sur les virus et le Pao pereira : virus