Une étude réalisée par des chercheurs de Yale et parue dans le journal CANCER établit un lien entre la fréquence des radiographies dentaires et l’augmentation du risque de méningiome (tumeur cérébrale).

Les rayons X sont bien évidemment les coupables dans cette affaire. Il a déjà été prouvé qu’une exposition prolongée aux radiations ionisantes peut provoquer des cancers et autres anomalies. Ce n’est pas pour rien que le personnel faisant passer des radios se protège de ces rayons en s’isolant dans une autre pièce.

Le chercheur en biologie moléculaire, Mirko Beljanski (1923 – 1998) mis au point des ARN-fragments comme catalyseurs naturels et sélectifs des cellules de l’immunité. Il baptisa ces ARN-fragments Remonte Leucocyte Beljanski ou RLB. Ces ARN-fragments sont, en outre, des radios protecteurs non toxiques qui favorisent aussi la réparation des cassures chromosomiques et de ce fait évitent bon nombre de mutations à l’origine de récidives des cancers chez les personnes ayant subi des radiothérapies.

Radios dentaires et cancers

Encore plus préoccupant, Cécile Dumas journaliste pour le magazine Sciences & Avenir explique dans son article intitulé Radio des dents : un risque accru de tumeur au cerveau ? : « Une même relation a été observée pour les radiographies panoramiques, qui permettent d’obtenir une vision de toute la dentition. L’augmentation du risque de méningiome est plus nette chez les personnes qui ont pratiqué ces radiographies enfant, particulièrement avant 10 ans (4.9 fois plus de risque de développer un méningiome).

A l’heure où les appareils dentaires sont courants, et que presque tous les préadolescents passent des radios des dents de façons très régulières, ces chiffres ont de quoi nous inquiéter.

Cancer du sein et mammographie

Passé 50 ans, les femmes sont invitées tous les 2 ans à une mammographie. Le but de l’opération est le dépistage du cancer du sein au stade le plus tôt possible. En effet, lors d’une mammographie le technicien est capable grâce au rayons X de localiser des tumeurs avant même que celles-ci puissent être repérées par palpation.

Même si la mammographie permet de sauver la vie de nombreuses femmes, elle augmente hélas également le risque de contracter cette maladie. Le risque est d’autant plus élevé pour les femmes à la poitrine plus généreuse qui doivent subir un nombre plus important de clichés, et par conséquence 2.3 fois plus de radiation que les femmes à la poitrine plus petite.

On observe ainsi que de nombreuses patientes atteintes d’un cancer du sein, et soignées avec un succès par la radiothérapie, sont victimes, quelques années plus tard (entre 5 et 10 ans), d’un cancer des os. De nombreuses femmes font désormais le choix de la thermographie mammaires afin d’éviter l’exposition aux rayons X, cependant il n’est hélas pas toujours possible d’éviter notre exposition aux rayons X.

Les ARN-fragments pour se protéger des rayons

Mirko Beljanski, dans les années 80, suite à un contrat avec l’armée sur la radioprotection, avait montré comment les ARN-fragments minimisent les dangers d’une irradiation gamma très puissante chez les souris et permettait d’éviter à ces animaux de succomber.

Depuis lors, les fragments ARN a été très souvent utilisé pour protéger des malades recevant des rayons pour traitement de leurs cancers. Les ARN fragments protègent le génome. De nombreux professionnels de la santé conseillent de prendre juste avant et juste après des radios et autres examens cités ci-dessus des fragments ARN conçu par Beljanski.

Passé 50 ans, les femmes sont invitées tous les 2 ans à une mammographie. Le but de l’opération est le dépistage du cancer du sein au stade le plus tôt possible. En effet, lors d’une mammographie le technicien est capable grâce au rayons X de localiser des tumeurs avant même que celles-ci puissent être repérées par palpation.

Même si la mammographie permet de sauver la vie de nombreuses femmes, elle augmente hélas également le risque de contracter cette maladie. Le risque est d’autant plus élevé pour les femmes à la poitrine plus généreuse qui doivent subir un nombre plus important de clichés, et par conséquence 2.3 fois plus de radiation que les femmes à la poitrine plus petite.

On observe ainsi que de nombreuses patientes atteintes d’un cancer du sein, et soignées avec un succès par la radiothérapie, sont victimes, quelques années plus tard (entre 5 et 10 ans), d’un cancer des os. De nombreuses femmes font désormais le choix de la thermographie mammaires afin d’éviter l’exposition aux rayons X, cependant il n’est hélas pas toujours possible d’éviter notre exposition aux rayons X.

Les ARN-fragments pour se protéger des rayons

Mirko Beljanski, dans les années 80, suite à un contrat avec l’armée sur la radioprotection, avait montré comment les ARN-fragments minimisent les dangers d’une irradiation gamma très puissante chez les souris et permettait d’éviter à ces animaux de succomber.

Depuis lors, les fragments ARN a été très souvent utilisé pour protéger des malades recevant des rayons pour traitement de leurs cancers. Les ARN fragments protègent le génome. De nombreux professionnels de la santé conseillent de prendre juste avant et juste après des radios et autres examens cités ci-dessus des fragments ARN conçu par Beljanski.

Passé 50 ans, les femmes sont invitées tous les 2 ans à une mammographie. Le but de l’opération est le dépistage du cancer du sein au stade le plus tôt possible. En effet, lors d’une mammographie le technicien est capable grâce au rayons X de localiser des tumeurs avant même que celles-ci puissent être repérées par palpation.

Même si la mammographie permet de sauver la vie de nombreuses femmes, elle augmente hélas également le risque de contracter cette maladie. Le risque est d’autant plus élevé pour les femmes à la poitrine plus généreuse qui doivent subir un nombre plus important de clichés, et par conséquence 2.3 fois plus de radiation que les femmes à la poitrine plus petite.

On observe ainsi que de nombreuses patientes atteintes d’un cancer du sein, et soignées avec un succès par la radiothérapie, sont victimes, quelques années plus tard (entre 5 et 10 ans), d’un cancer des os. De nombreuses femmes font désormais le choix de la thermographie mammaires afin d’éviter l’exposition aux rayons X, cependant il n’est hélas pas toujours possible d’éviter notre exposition aux rayons X.