Gouvernement Chirac, mon petit « coup de gueule » politique
Un “plan cancer” à deux vitesses
« Tous les moyens nécessaires » pour vaincre le cancer, se limitait donc aux produits qui avaient reçu l’aval des grands groupes pharmaceutiques, c’est-à-dire ceux dont ils possédaient les brevets. Le succès thérapeutique d’une méthode naturelle ne génère au contraire que « détresse » dans les sphères politiques et en particulier du Ministère de la Santé, comme le rapportait Le Point le 18 novembre 1995 : « Détresse dans le bureau de Simone Weil: les médicaments que prend Miterrand vont faire une grande publicité aux produits naturels…. » (numéro 1209) Peu importe que le patient (en l’occurrence François Mitterand) aille mieux, et soit satisfait de son traitement. Là n’est pas la question. Or comme le rapporte avec brio Pierre Lance, nombre de chercheurs ont mis au point des traitements offrant au moins des pistes intéressantes de recherche. Qu’en est-il advenu ? Curieusement ils ont tous connu des sorts similaires : Jean Solomidès, Mirko Beljanski, Antoine Priore, Jacques Benveniste, Loïc Le Ribault… tous ont subi harcèlement fiscal et attaques pour exercice illégal de la pharmacie, de la médecine. Rien n’est épargné à ceux qui ont osé développer des méthodes « non éprouvées scientifiquement ». Mais la reproductibilité des résultats n’est-elle pas un système de preuve scientifique ? En 2001, au défilé de patients venant témoigner à la barre du Tribunal de Créteil comment le produits Beljanski leur avait permis de se stabiliser, de s’améliorer, voire de guérir de maladies graves pour lesquelles ils avaient été condamnés par l’hôpital, la Présidente avait lancé « Ils ont bien appris leur leçon » ! Le témoignage constitue une preuve juridique, reçue partout, sauf quand il s’agit de notre santé. Par ailleurs, et alors que le procès « Mediator » vient de s’ouvrir, on ne saurait ignorer les scandales concernant des médicaments agrémentés, ayant dûment obtenu leur AMM (Autorisation de Mise sur le Marché), qui font régulièrement surface : sang contaminé, hormones de croissance, Viox, statines… Toutes ces affaires sordides, où il est toujours révélé qu’en fin de compte l’intérêt financier a primé face à l’intérêt des malades, nous invitent à nous interroger tant sur le plan humain que sur le plan de la déontologie médicale, et sur les choix faits par nos gouvernements en matière de politiques de santé. Pourtant l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) réclame depuis longtemps la revalorisation des médecines traditionnelles et naturelles, reconnaissant qu’un usage continu dans le temps constitue une preuve de leur efficacité et de leur innocuité. Leur moindre coût, loin d’être une source de « détresse », devrait rendre leur étude d’autant plus souhaitable, mais la volonté politique n’est pas là. Alors, il ne se passe rien, et l’OMS continue à réclamer. C’est pourquoi il appartient au monde associatif de pallier à cette carence, et de trouver les moyens de financer une recherche qui apportera définitivement les « preuves scientifiques » nécessaires au développement d’une autre approche thérapeutique. C’est possible : depuis les vingt dernières années, la Fondation Beljanski a établi des partenariats avec de grandes institutions de recherche et a confirmé :- CELLULES PRÉCANCÉREUSES
- Étude clinique en partenariat avec Columbia University aux États-Unis,
- Le Rauwolfia vomitoria et le Pao pereira ont considérablement diminué les taux de PSA chez les hommes sur une période de 12 mois, démontrant l’effet anti- inflammatoire des extraits.
- CELLULES CANCÉREUSES
- En partenariat avec Columbia University aux États-Unis,
- L’extrait de Rauwolfia vomitoria a inhibé considérablement la croissance des cellules cancéreuses et a provoqué l’arrêt du cycle des cellules du cancer du ganglion lymphatique de la prostate (LNCaP). Le volume de la tumeur a diminué jusqu’à 70% dans une étude sur souris.
- En partenariat avec Columbia University aux États-Unis,
- In vivo, le Pao pereira a réduit la croissance des tumeurs jusqu’à 80%, en induisant l’apoptose des cellules cancéreuses.
- En partenariat avec The University of Kansas Medical Center aux États-Unis,
- In vivo, utilisé seul le Pao pereira a réduit la croissance de la tumeur de 79% et a diminué le volume de l’ascite de 55%,
- Lorsque le Pao pereira était combiné au carboplatine (chimiothérapie), la croissance de la tumeur a diminué de 97% et l’ascite a été complètement éliminé.
- En partenariat avec The University of Kansas Medical Center aux États-Unis,
- Le Rauwolfia vomitoria a inhibé les cellules cancéreuses de l’ovaire, à la fois seul puis en combinaison avec le carboplatine (chimiothérapie),
- Associé au carboplatine (chimiothérapie), la taille de la tumeur a diminué jusqu’à 90% et le volume d’ascite jusqu’à 97%.
- En partenariat avec The University of Kansas Medical Center aux États-Unis,
- Les études ont été réalisées in vitro et in vivo, confirmant que le Pao pereira réduisait la croissance de la tumeur du cancer pancréatique jusqu’à 72%.
- En partenariat avec The University of Kansas medical Center aux États-Unis,
- Les cellules cancéreuses du pancréas ne répondaient plus à la gemcitabine (chimiothérapie), mais traitées avec le Rauwolfia vomitoria, le nombre de ces cellules diminuait de 53%,
- Traitées avec une combinaison de gemcitabine et de Rauwolfia vomitoria, les tumeurs cancéreuses du pancréas diminuaient de 56%.
- CELLULES CANCÉREUSES AVANCÉES
- En partenariat avec Nanjing University en Chine,
- Le Pao pereira est efficace contre le cancer avancé de la prostate et contre les métastases.
- CELLULES SOUCHES CANCÉREUSES
- En partenariat avec The University of Kansas Medical Center aux États-Unis,
- Le Pao pereira réduit la tumeur pancréatique formée par les cellules souches jusqu’à 70%.
- En partenariat avec The University of Kansas Medical Center aux États-Unis,
- Le Rauwolfia vomitoria réduit la formation de la tumeur du pancréas induite par les cellules souches du cancer.
- LA CHIMIOTHÉRAPIE AVEC LES FRAGMENTS D’ARN (ESSAI CLINIQUE)
- Essai clinique réalisé en partenariat avec Cancer Treatment Centers of America aux États-Unis,
- Les malades du cancer prenant les fragments d’ARN Beljanski (E. coli K-12) pendant la durée de la chimiothérapie ont tous retrouvé un système immunitaire renforcé et évité la thrombopénie (niveau faible de plaquettes). Les ARN à base de levure n’ont pas fonctionné.
Share