Témoignage Lymphome de type burkitt

Témoignage Lymphome de type burkitt


J’ai dû insister pour que mon gynécologue m’examine au delà d’une consultation routinière, chronométrée et réglée à la secrétaire en sortant. Lorsque son matériel échographique l’a mis brutalement en face de ses responsabilités, tout s’est enclenché.

Ce jour du 17 juin 1999 où j’ai été admise à la clinique du Val de Juine à Etampes, j’étais plutôt de bonne humeur, car je savais que bientôt j’allais être délivrée de ce poids qui s’était amassé dans mon ventre et que je traînais comme un boulet depuis plus d’un mois.

Bien sûr je m’étais rendu compte que quelque chose était en dysfonctionnement dans mon corps, mais j’étais loin de penser que c’était grave et que ce mal nécessiterait trois mois et demi d’un traitement médical des plus lourds à supporter mais garanti à… 90%.

C’est à l’Hôtel Dieu de Paris qu’est revenue la palme de m’administrer quantité de produits chimiques hautement toxiques. Grâce à ses relations dans le domaine paramédical mais aussi dans le domaine médical, mon mari a très vite été persuadé qu’il me fallait un traitement parallèle. Chaque jour, il m’apportait un remède miracle différent de la veille. Chaque jour, je refusais ces pilules, granules, gélules… car de toute manière je vomissais tout.

A l’issue de ma deuxième chimiothérapie, j’ai fait ce qu’on a appelé un syndrome de lyse et j’ai dû être transportée à l’Hôpital Broussais où on allait pouvoir soigner cette conséquence du traitement chimiothérapique à hautes doses. En fait, mes reins étaient bloqués, je n’éliminais plus les produits qui s’écoulaient dans mes veines nuit et jour sans relâche depuis 5 jours. J’ai progressivement été prise de tremblements incontrôlables dans tout le corps puis quelques heures plus tard j’ai ressenti comme une atrophie du système respiratoire.

J’ai cru mourir.

Alors c’est là, dans ma nouvelle chambre, que le lendemain j’ai pris la décision de céder aux avances de mon mari et d’être acteur de ma guérison.

J’ai affiché les dessins et petits mots de mes enfants Camille et Victor, j’ai commencé à prendre, en parallèle du traitement chimique certains produits du Professeur Beljanski connus du milieu paramédical pour leur efficacité sur le système immunitaire et la protection des cellules saines : le Pao pereira (PAO V “FM”®), le Ginkgo biloba (GINKGO V®) et les Fragments d’ARN (REALBUILD®).

em>J’ai mieux supporté les scéances de chimiothérapie et j’ai pu constater que le Real Build me permettait de maintenir mon taux de Polynucléaires neutrophiles à un niveau acceptable dans la phase de baisse d’immunité, puis d’amorcer une remontée spectaculaire de ceux-ci dès le 3ème jour.

Les chefs de clinique étaient piqués au vif quand je refusais les transfusions et autres piqûres de Neupogen (hormones de croissance) mais ils ne me posaient pas de question.

Après que ma maladie ait été déclarée en rémission complète, j’ai continué à prendre du Pao pereira (PAO V “FM”®) et du Ginkgo biloba (GINKGO V®) en provenance de Natural Source International Ltd aux USA pendant à peu près un an.

En 2011, je vais très bien et je suis sûre que M. Beljanski y est pour quelque chose.

Par Isabelle A.