Témoignage lésion cancéreuse et évolutive au sein

Témoignage lésion cancéreuse et évolutive au sein


Octobre 1986 : je suis très fatiguée. Je souffre affreusement de l’épaule et du bras droit, j’ai les cheveux ternes et impossibles à coiffer, les ongles laids, cassants et les mains, c’est étrange, pleines de verrues.

En novembre, je vois mon médecin homéopathe habituel. Nous pensons tous les deux que ces réactions sont dues à mon dur travail de l’été, à l’âge et aussi à l’arthrose.

Vers décembre, il me semble trouver une petite grosseur à l’un de mes seins puis, ne la retrouvant pas, je l’oublie.

En janvier 1987, j’ai toujours mes problèmes et toujours très mal au bras. Le dimanche 15 février, je vois une fossette au-dessus du sein droit. Je palpe et trouve un pois sous cette fossette.

Immédiatement, je n’ai aucun doute sur la nécessité et l’urgence de consulter.

Le 17 février, je suis à Bordeaux chez le gynécologue qui me surveille depuis 25 ans. A sa tête, je ressens son inquiétude et il décide de faire une ponction en vue d’analyse. On décide de me faire un traitement de Nolvadex pendant trois mois.

J’ai toujours les mêmes problèmes : mon teint est gris et je deviens difficile à vivre.

Le 16 juin, de nouveau mammographie et biopsie. J’entends que j’aurais des ganglions. Je subis de nouveau tous les examens dont un prélèvement au trocart : « il n’y a aucun doute, votre lésion est cancéreuse et évolutive ; il va falloir intervenir dans les quinze jours ».

L’intervention a lieu le 2 juillet 1987 ; celle-ci est minime pour la tumeur mais énorme sous le bras où l’on pratique l’ablation de huit ganglions non atteints. Je devais commencer une radiothérapie le 13 août, suite logique semblait-il, de l’intervention du 2 juillet 1987. Toutefois, en accord avec le docteur X, je décide de l’éviter momentanément. J’en informe mon gynécologue de Bordeaux qui malgré ma décision accepte de continuer à me surveiller.

En décembre 1987, le docteur X décide de me faire certaines vérifications par des analyses de sang particulières. L’antigène doit être entre 7 et 19, je suis à 20. En février, je suis à 22.

Le mot « métastases » est prononcé.

Mi-mars 1988, je commence à prendre les gélules Beljanski. Quatre semaines plus tard, nouvelles analyses : L’antigène est à 12. La grosseur, toujours là, semble avoir diminué.

Je suis contrôlée toutes les 4 semaines. Le 16 juin 1988, je subis tous les examens possibles : Mammographie, radios des poumons et du foie…

Tout est bien, même très bien. Le ganglion qui posait des problèmes a totalement disparu.

Le docteur X est très heureux du résultat, et moi très reconnaissante au professeur Beljanski et à tous ceux qui ont cru et m’ont aidée à croire.

J’aurais pris les produits Beljanski plus tôt, peut-être en eût-il été différemment par la suite : opération non indispensable ? Pas d’ablation des ganglions ?

Il faut soutenir massivement cette nouvelle voie de la biomédecine et en particulier les concepts du chercheur Mirko BELJANSKI.

Depuis cette maladie, j’ai toujours fait 2 cures par an des produits Beljanski, au printemps et à l’automne, à raison de 3 gélules de Pao pereira par jour pendant 1 mois et 3 gélules de Rauwolfia vomitoria par jour pendant le mois suivant (soit 2 fois 2 mois par an).

Cancer du sein en 1987, en 2011 rattrapée par un prolapsus à l’intestin, déjà opéré en 1977, maladie très désagréable mais non cancéreuse.

Par Henriette B.