Témoignage cancer de l’utérus, stade 3


Le 12 juillet 1994 j’ai dû subir l’opération de la totale car j’avais à 62 ans un cancer très évolutif. Après 15 jours de clinique, j’ai pu rentrer à la maison et tout semblait aller normalement pendant 3 semaines.

Toutefois je devais retourner au pavillon PASTEUR de l’Hôpital de NIORT pour y subir des séances de chimio et de rayons, ce qui signifiait qu’il y avait sans doute des risques de complications. Connaissant l’incroyable histoire d’un ancien maréchal-ferrant du pays devenu un miraculé d’un cancer de la gorge (1991) qui a été guéri grâce à l’utilisation combinée d’un traitement mis au point par un chercheur du nom de Mirko BELJANSKI, nous prenons, avec mon mari, rendez-vous avec un médecin qui connaissait les travaux du professeur.

Mon époux m’avait dit: “Pour bien te soigner on n’attendra pas pour nous procurer ces formules”. Nous savions en effet que Monsieur Albert BONNIN, ce grand malade de la région, dont tout le monde parlait, avait été impressionné par la remontée de ses plaquettes (grâce aux fragments d’ARN (REALBUILD®) de Beljanski) et par l’absence de tous les effets secondaires connus engendrés par les chimiothérapies.

Il ne cachait pas sa satisfaction et montrait partout ses analyses édifiantes. Depuis 3 ans nous savions qu’il ne prenait plus aucun médicament pour son cancer, alors qu’aux dires de son docteur endocrinologue, sa guérison ne relevait que du miracle.

Le silence ou la désinformation médiatique ne trompera pas la rumeur qui s’amplifie au cœur de la France profonde de nos campagnes : « Les formules Beljanski ça marche bien pour mieux maîtriser des maladies très graves comme les cancers, le sida, les maladies auto-immunes, etc! »

De plus en plus de rescapés de ces pathologies qui sont en général mortelles ont le courage de témoigner dans leur entourage ! Que ce soit par satisfaction ou plutôt par bonheur mais aussi par devoir et citoyenneté ou par simple reconnaissance.

Voici un exemple parmi des milliers d’autres avec l’histoire merveilleuse de Madame Yvette G. et de Monsieur Albert B.

C’est ainsi que la boule de neige « Beljanski » se transforme progressivement en avalanche et rien ne pourra arrêter l’élément naturel : LA VÉRITÉ.

Nous avons commandé ces fameuses formules et le premier colis est arrivé le 20 Août 1994. Entre temps j’ai appris par le cancérologue que je me trouvais au stade 3 et que c’était donc très grave. Le 22 août je rentre à l’Hôpital Pasteur de NIORT et là c’est la catastrophe ! On me branche des perfusions du lundi matin au vendredi soir. Je prenais mes gélules, mais comme je vomissais sans arrêt à cause des fortes chimiothérapies que l’on m’administrait, elles ne me faisaient pas d’effet.

J’étais anéantie! Je ne pouvais plus me lever. Je faisais une crise de goutte et avais la diarrhée… Cela a duré toute la semaine et je suis rentrée comme une loque. Pendant une quinzaine de jours j’ai littéralement rampé pour me déplacer.

De plus, marchant très peu, je fus victime d’une phlébite et je dûs retourner en urgence à la clinique. Quoique bien soignée, une embolie s’est formée et on m’a posé un filtre. Je n’avais vraiment pas de chance!

Je n’ai pas quitté le lit pendant 3 semaines, et anémiée il m’a fallu en plus une transfusion. Je suis alors rentrée à la maison où l’on m’a ordonné 8 jours de repos avant de reprendre la seconde cure de chimio et de rayons.

J’étais totalement démolie !

Mais cette fois-ci, comme je ne vomissais plus mes gélules, elles me faisaient de l’effet et empêchaient la nocivité de ce deuxième traitement que j’ai donc très bien supporté. Maintenant je me porte comme un charme à la stupéfaction de mes médecins qui n’en reviennent pas.

Pendant tout le traitement à l’hôpital ou à la clinique, tous mes médecins savaient que j’utilisais les formules BELJANSKI car j’avalais sous leurs yeux étonnés mes 18 gélules par jour de ce traitement de choc qui m’a ressuscitée.

Je voulais rester honnête envers eux, même si on m’avait prévenu de certaines éventuelles hostilités du corps médical qui est en général désinformé et manipulé. Nous sommes devenus depuis des amis avec Albert BONNIN et nous profitons paisiblement de notre retraite tout en militant pour que notre vécu se sache.

Chaque année, le premier dimanche de septembre, nous nous rendons pour témoigner au pique-nique organisé par le CIRIS à SAINTES (17). C’est devenu un sympathique pèlerinage du devoir. De là où il nous regarde, j’adresse à mon sauveur ma reconnaissance éternelle avec l’espoir de la diffusion mondiale de ces produits dont il est le père et qui m’ont fait revivre. Ces merveilleuses gélules qui nous ont redonne espoir sont en mesure de pouvoir sauver la vie à des millions d’êtres humains. Laissons la conclusion de mon témoignage au Docteur cancérologue à NIORT: “Mme G., que voulez-vous de plus!”

En mars 2006 je vais toujours très bien et les cancérologues étonnés m’ont fait faire un PET scan qui n’a rien décelé de suspect.

Les moments difficiles sont loin derrière moi… Maintenant, je vis dans l’attente d’heureux évènements, grâce à ma guérison, je profite de mes arrières petits-enfants.

Par Yvette G.