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Témoignage cancer de l’Ovaire, utérus, péritoine, taches aux poumons et au foie


Au printemps 1996, je me sentais très fatiguée et chaque jour ballonnée jusqu’au jour où me baissant pour arracher une mauvaise herbe dans mon jardin, j’ai senti un éclatement dans mon ventre avec les pertes qui s’en sont suivies. Je téléphone immédiatement à ma Gynécologue qui me demande de la voir le soir même après ses consultations. Après examen et échographie, elle m’annonce que j’avais un carcinome ovarien avancé avec 952 de C.A.125.

L’étourdissement passé il faut se prendre en main, nous cherchons de suite un chirurgien pour une intervention rapide que nous n’obtenons que pour 3 semaines plus tard. Le 15 mai 1996, l’intervention qui débute à 7 heures du matin dure 4 heures, puis en salle de réveil, le corps médical est dans l’obligation de me reconduire au bloc opératoire : j’avais fait une hémorragie interne et je n’avais plus que 4 de tension artérielle. Après une nouvelle intervention je me retrouve dans ma chambre à 22 heures.

Après 15 jours d’hospitalisation suivis d’un mois de maison de repos, nous avons commencé la chimiothérapie. Après deux séances, on m’annonce que la troisième n’est pas possible à cause d’une aplasie totale. Je contacte à nouveau le médecin prescripteur des produits Beljanski qui me demande de doubler la dose de Fragments d’ARN (REALBUILD®), à la suite de quoi, j’ai vu ma forme revenir et on a pu continuer les séances de chimiothérapie toutes les trois semaines comme prévu. Par la suite, lors de ma quatrième chimiothérapie le cancérologue m’a dit « je ne sais pas comment vous faites avec tout ce que l’on vous met » ! (… comme poison). Je lui ai répondu que je le lui dirais lorsque je serais guérie. Au bout de six mois de chimiothérapie et un second « look », les médecins m’ont déclarée en rémission totale. C’est à ce moment que j’ai demandé à mon cancérologue si je pouvais lui donner réponse à sa question précédente. Je lui ai annoncé que je le devais au professeur BELJANSKI et à ses produits. Sa réaction a été un haussement d’épaule. Etait- ce pour me dire qu’il le savait mais qu’il ne pouvait rien dire… ou qu’il n’y croyait pas ? La réponse de mon chirurgien était… « eh bien si vous croyez à la poudre de perlinpinpin… ».

En janvier 2011, alors que je me trouvais à nouveau fatiguée et avec beaucoup de problèmes digestifs ; je devais faire une IRM pour un suivi en continuité à la mutation génétique du BRCA1 et BECA2 de 1996. A la suite de cette IRM, on me diagnostique des ganglions au pancréas et au duodénum. Bien sûr il faut approfondir les examens et le monde s’écroule une seconde fois pour moi, lymphome non hodgkinien, il faut faire de la chimio…

Le 8 juin 2011, exérèse d’une adénopathie sus claviculaire gauche – adénopathie coeliomésentérique jusqu’à 2,5 cm et adénopathies médiastinales supérieures. Le tep scan, programmé le 17 juin 2011, montre des hyper xations ganglionnaires sus diaphragmatiques (cervicales, médiastinales et sous diaphragmatiques, coeliomésentériques sans atteinte viscérale ou osseuse).

Dès que j’ai entendu le mot « chimio », j’ai décidé de commencer sans tarder les produits Beljanski que je connaissais de longue date (1996) a n d’attaquer la maladie de face.

Tout se passait bien, les chimios avaient lieu régulièrement jusqu’à la 3ème et c’est alors que les effets secondaires ne se sont pas fait attendre. J’ai dû affronter une embolie pulmonaire, ce qui avait un peu retardé et modifié le traitement. Chaque jour, je pensais au Professeur BELJANSKI et je prenais mes précieuses gélules que j’avais dans mon tiroir.

Pour Noël, le traitement chimique était terminé et à ce jour, 30 novembre 2012, je prends toujours les gélules de Pao pereira + Rauwolfia vomitoria + Ginkgo biloba chaque jour et Fragments d’ARN chaque semaine.

Je vous remercie pour ces pique-niques qui sont si sympathiques et surtout un grand merci au Professeur BELJANSKI et à ceux qui travaillent encore à toutes ces recherches.